Aline Gampert est la dernière (pour lʹinstant) représentante dʹune dynastie de directeurs-trices de théâtre. Comme les Knie, dit-elle. Et puis, presque quotidiennement, elle court. La plupart du temps seule, sans capteurs divers. A lʹinstinct, un peu à lʹancienne. Elle porte la même marque de chaussures que Murakami, dont elle admire lʹœuvre et les écrits sur ce sport. Elle raconte ici cette pratique qui lui est devenue indispensable. Et comment la course a totalement modifié son rapport à son métier, à son corps (de femme), au monde.