Guichet: bonne main et pourboires
Il n'y a pas d'obligation à laisser un pourboire en Suisse. Le geste est facultatif depuis le 1er juillet 1974, quand l'hôtellerie-restauration est passée au "service compris".
Un geste facultatif, mais encore bien ancrée dans nos habitudes. Parce que le pourboire, c'est une très vieille histoire. Elle remonte au 15ème siècle, lorsque les seigneurs anglais ont commencé à récompenser leurs servantes et servants pour un travail bien exécuté. Un geste lié à un rapport hiérarchique entre la position dominante de celle ou celui qui donne face à celle ou celui qui reçoit. En français, la première trace du mot "pourboire" se trouve dans L’école des femmes de Molière (1662): "Cependant par avance, Alain, voici pour boire."
Deux invités répondent à vos questions:
- Sébastien Fernandez, Professeur associé à l'école hôtelière de Lausanne, Docteur en psychologie et auteur de plusieurs études comportementales sur les pourboires;
- Steve Delasoie, directeur de Gastro-Valais, mais aussi hôtelier-restaurateur, avec une grande expérience de terrain.
Un geste facultatif, mais encore bien ancrée dans nos habitudes. Parce que le pourboire, c'est une très vieille histoire. Elle remonte au 15ème siècle, lorsque les seigneurs anglais ont commencé à récompenser leurs servantes et servants pour un travail bien exécuté. Un geste lié à un rapport hiérarchique entre la position dominante de celle ou celui qui donne face à celle ou celui qui reçoit. En français, la première trace du mot "pourboire" se trouve dans L’école des femmes de Molière (1662): "Cependant par avance, Alain, voici pour boire."
Deux invités répondent à vos questions:
- Sébastien Fernandez, Professeur associé à l'école hôtelière de Lausanne, Docteur en psychologie et auteur de plusieurs études comportementales sur les pourboires;
- Steve Delasoie, directeur de Gastro-Valais, mais aussi hôtelier-restaurateur, avec une grande expérience de terrain.
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreAssurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien.
Au programme aujourd'hui:
1. Le jour le plus déprimant de l’année
2. Alternatives aux produits menstruels jetables
3. Guichet: bonne main et pourboires - Le jour le plus déprimant de lʹannéeEntre météo maussade, éloignement des festivités de fin d’année et bonnes résolutions malmenées, le 3e lundi de janvier serait le pire jour de l’année pour le moral. Cette théorie a beau ne s’appuyer sur aucun fondement scientifique, elle fait tout de même écho à une réalité hivernale: la dépression saisonnière touche 2 à 3% de la population suisse et le coup de blues de la saison froide est ressenti par une personne sur 10 environ. En cause: le manque de luminosité. Quelles solutions pour reprendre le dessus?
Réponses avec la Dre Hélène Richard-Lepouriel, médecin-adjoint responsable de l’unité des Troubles de l’humeur au sein du service des spécialités psychiatriques des HUG. - Alternatives aux produits menstruels jetablesLa lutte contre la précarité menstruelle passe par la distribution gratuite de protections hygiéniques, la baisse de la TVA – ramenée à 2,6% au 1er janvier contre 8,1% auparavant – et par l’utilisation de produits réutilisables: culotte, disque et coupe menstruelles, serviette hygiénique lavable, éponge, sans parler du flux instinctif libre (FIL), méthode basée sur la gestion du flux sanguin ne nécessitant aucune protection.
On en parle avec Eléonore Arnaud, directrice de l’association suisse For Womxn Period. Elle est l'invitée de Muriel Mérat. - Guichet: bonne main et pourboiresIl n'y a pas d'obligation à laisser un pourboire en Suisse. Le geste est facultatif depuis le 1er juillet 1974, quand l'hôtellerie-restauration est passée au "service compris".
Un geste facultatif, mais encore bien ancrée dans nos habitudes. Parce que le pourboire, c'est une très vieille histoire. Elle remonte au 15ème siècle, lorsque les seigneurs anglais ont commencé à récompenser leurs servantes et servants pour un travail bien exécuté. Un geste lié à un rapport hiérarchique entre la position dominante de celle ou celui qui donne face à celle ou celui qui reçoit. En français, la première trace du mot "pourboire" se trouve dans L’école des femmes de Molière (1662): "Cependant par avance, Alain, voici pour boire."
Deux invités répondent à vos questions:
- Sébastien Fernandez, Professeur associé à l'école hôtelière de Lausanne, Docteur en psychologie et auteur de plusieurs études comportementales sur les pourboires;
- Steve Delasoie, directeur de Gastro-Valais, mais aussi hôtelier-restaurateur, avec une grande expérience de terrain.