Dans cette nouvelle série d’Histoire Vivante, on lève le nez au ciel. Quelle que soit sa couleur en fonction de la météo il nous donne les clés de nos journées, de nos années et depuis quelques temps il pourrait même inspirer les politiques gouvernementales confrontées aux catastrophes naturelles à répétition. Décrire le ciel, le cartographier, c’est s’interroger sur la place de la terre dans l’univers et donc sur notre place, à nous, l’humanité.
Le regard de l’Antiquité sur le ciel nous a laissé un bel héritage, à commencer par les noms donnés au paysage céleste nocturne comme la reine Cassiopée dont l’orgueil la condamne à circuler tête en bas, ou encore le nom de notre galaxie, la Voie lactée, sans oublier le Centaure, la plus éclatante des constellations.
L’Antiquité est partout dans l’espace et Arnaud Zucker, professeur de langue et de littérature grecques à l’Université Côte d'Azur, nous explique pourquoi nous devons ce savoir aux usages du ciel par les Grecs anciens.