fermer

détail & partage

Films traitant du racisme, de l'antisémitisme, de l'apartheid

1/10

Au revoir les enfants, de Louis Malle. 1944, Julien est pensionnaire dans un collège catholique. Lorsque Jean arrive, les deux garçons se lient d'amitié. Mais la Gestapo arrête le Père Jean et les trois enfants juifs, dont Jean, qu'il avait cachés parmi ses petits catholiques.

2/10

American History X. A travers l'histoire d'une famille américaine, ce film tente d'expliquer l'origine du racisme et de l'extrémisme aux États-Unis. Voulant venger la mort de son père, abattu par un dealer noir, Derek a épousé les thèses racistes d'un groupuscule de militants d'extrême droite. Ces théories le mèneront à commettre un double meurtre, entraînant son jeune frère, Danny, dans la spirale de la haine.

3/10

Devine qui vient dîner, sorti en 1967, évoque le problème du racisme aux Etats-Unis à travers une histoire d'amour. Une jeune femme blanche présente son petit ami noir à ses parents. Ces derniers, pourtant ouverts d'esprit, se retrouvent confrontés à leurs contradictions lorsque leur fille leur annonce qu'elle va épouser son petit ami. Les parents du jeune homme sont tout aussi perturbés par cette situation.

4/10

Gran Torino, de Clint Eastwood, raconte l'histoire d'un vétéran de la guerre de Corée. Une nuit, Walt Kowalski, xénophobe et irascible, surprend Thao, un jeune voisin asiatique, tentant de voler sa Ford Gran Torino 1972, dans le cadre d'une épreuve imposée par le gang qui veut le recruter. Un événement qui marque le début de la rédemption de Walt Kowalski.

5/10

Invictus, de Clint Eastwood, relate l'histoire vraie du championnat du monde de rugby à XV qui s'est déroulé en 1995 en Afrique du Sud, peu après l'abolition de l'apartheid. Pour unifier le pays, Nelson Mandela a fait cause commune avec le capitaine des Springboks, une équipe qui fut longtemps un des symboles du régime raciste. [© Warner Bros]

6/10

La Couleur pourpre, de Steven Spielberg. Le film raconte la vie de Célie, une fille noire du sud des États-Unis, dans les années 1900. Mariée de force à l'âge de 15 ans à un homme qu'elle n'aime pas, Celie est violentée et rabaissée. Elle finit par s'effacer totalement. Le film met en avant l'indifférence de la société envers les femmes noires au début du XXe siècle aux États -Unis.

7/10

La vie est belle, de Roberto Benigni, met en scène Guido, un homme joyeux qui vit en Italie sous le régime fasciste. Juif, il est déporté avec son fils Giosue. Dans le camp de la mort, il fera tout pour éviter que son fils ne se rende compte de l'horreur nazie. [© Bac Films]

8/10

Twelve Years A Slave, de Steve McQueen, est un film sur l'esclavagisme aux États-Unis. Il relate l'histoire vraie de Solomon Northup. Quelques années avant la guerre de Sécession, Solomon Northup, jeune homme noir originaire de l’État de New York, est enlevé et vendu comme esclave.

9/10

Une saison blanche et sèche, tiré du roman éponyme de Brink, Prix Médicis étranger en 1980, suit la descente aux enfers d'un professeur d'histoire afrikaaner. Lors de son enquête sur la mort du fils de son jardinier noir, il prend conscience de l'impact des lois raciales de l'apartheid sur la vie des Noirs.

10/10

Tête de Turc, de Günter Wallraff, un journaliste allemand qui s'est déguisé pendant deux ans et demi en travailleur immigré turc au milieu des années 1980 pour montrer le traitement réservé à cette classe de la population en Allemagne, entre brimades et conditions de travail épouvantables.