Lorsque nous respirons normalement, l’inspiration est active (sous l’action des muscles intercostaux et du diaphragme) et l’expiration est passive: l’air est expulsé sans effort lorsque les muscles se relâchent.
Chez les oiseaux c’est l’inverse qui se produit: l’inspiration a lieu lorsque les muscles se relâchent.
On peut donc conclure que le dernier soupir d’un oiseau est bel et bien une inspiration, bien que je n’aie pas pu le vérifier moi-même.