Les sols précédemment inondés s’assèchent. Les espèces rares qui aimaient ces sols disparaissent. L'effet apparaît presque 100 ans plus tard, le temps qu'il a fallu pour voir les forêts évoluer.
De 1940 à l'an 2000, le nombre global des espèces présentes dans les régions alluviales n'a pas changé: environ 1500. Mais ce ne sont plus tout à fait les mêmes.
Les espèces typiques les plus rares ont souvent disparu des zones précédemment inondées, remplacées, par exemple, par des espèces plus banales.
C'est pourquoi les collectivités mènent maintenant un travail inverse de "libération" des cours d’eau, pour retrouver les espèces et la biodiversité initiales, par la restauration de leurs conditions de vie.
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Évaluer la biodiversité grâce aux vers de terre.
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