Le 27 avril, après plus de 6 semaines de confinement, les cabinets médicaux, les commerces de services à la personne, les magasins de bricolage et de jardinage ont pu rouvrir leurs portes. ABE est retourné voir les commerçants rencontrés au début de la crise pour recueillir à nouveau leurs témoignages. Le point également sur les questions qui se posent avant le 11 mai, date de réouverture pour tous les commerces encore fermés.
Commerces: fin avril...et ça repart (un peu !)
Déconfinement: les espoirs et les inquiétudes des commerces
Il y a quelques semaines, au début de la crise, ABE a suivi des petits commerçants frappés de plein fouet par la crise du coronavirus. Des reportages qui montraient comment ces coiffeurs, esthéticiennes, fleuristes ou autres petits entrepreneurs rivalisaient de créativité et d’ingéniosité pour poursuivre leurs activités dans la mesure du possible. Lorsque que la Confédération leur a permis de rouvrir leurs enseignes, sous certaines conditions, le 27 avril, le soulagement a été évidemment immense même si les doutes et les inquiétudes n’ont de loin pas disparu. Comment se sont-ils préparés, comment ont-ils vécu cette journée pas comme les autres ? ABE a parcouru la Suisse romande pour les rencontrer à nouveau et recueillir leurs témoignages.
Le 11 mai, ce sera le grand jour : tous les commerces encore fermés vont pouvoir rouvrir. Pour tous, des grands magasins aux restaurants, en passant par les boutiques d’habits ou de chaussures, ce ne sont pas les interrogations qui manquent. Sébastien Aeschbach, 4e génération de propriétaires des magasins du même nom, répond aux questions d’A Bon Entendeur.
Le paysan et le citadin
Aux Pays-Bas, on tente une expérience originale pour lutter contre la malbouffe et réconcilier les paysans avec les consommateurs des villes : une ferme, 100% auto-suffisante, gérée par un agriculteur salarié, financée par 130 familles urbaines, qui peuvent décider des cultures, les suivre et les récolter ! (ABE été 2017).
Tous à pied !
Bien avant le confinement, une ville espagnole de 80'000 habitants, Pontevedra, a découvert les charmes de l’air pur et de la quiétude d’une vie sans voitures : depuis 1999, tout le centre-ville est entièrement piéton ! Pas une seule voiture n’y entre, et ça marche. La preuve : le maire de cette cité de Galice a déjà été réélu 5 fois ! (ABE été 2017).