Nous consommons énormément de vêtements : 16kg en moyenne par personne et par an au niveau européen. Des vêtements souvent produits dans des conditions sociales et environnementales déplorables, que nous portons peu avant de les jeter à la benne. Du coup, la plupart des marques multiplient les engagements écoresponsables, destinés à déculpabiliser l’achat. Pur greenwashing ou engagements sincères ? Jusqu’où les marques tiennent-elles leurs promesses ? Enquête et conseils.
Mode éthique en toc ?
Bonus de l'émission
L'impact environnemental de la fast-fashion
Depuis quelques années, l’industrie textile s’empare de la prise de conscience environnementale du grand public. Elle promet de plus en plus de vêtements écologiques. On nous vend du naturel, du pur, de l’authentique mais bien souvent ce n’est que du vent. On parle alors de « greenwashing ». Reportage.
Pour gagner la confiance du consommateur, certaines marques textiles lui proposent aussi une forme de contrepartie. La tendance du moment, c’est de planter un arbre pour chaque article acheté. Une manière de déculpabiliser les achats, mais est-ce que ça du sens ? Nos explications.
En Europe, chacun d’entre nous achète en moyenne 16 kg de vêtements par an, deux fois plus qu’en 2014. Ces vêtements sont, par la suite, souvent très peu portés et jetés rapidement. La « fast-fashion », ou « mode rapide », séduit les consommateurs. Mais l’envers du décor est peu reluisant : cette production industrielle implique en effet souvent l’exploitation des ressources naturelles, et des conditions de travail indignes à ses ouvriers.
Interpellées par ABE, que répondent les grandes marques présentes sur le marché suisse ?
Linda Bourget en parle avec Lison Méric, journaliste à ABE. Ses conseils pour orienter nos achats vers des vêtements éthiques.
Il existe de plus en plus de marques écoresponsables et attentives à leur chaîne de production, elles constituent cependant encore un marché de niche. Reportage.
Pompe à chaleur mal installée : famille en danger
C’est l’histoire effrayante d’une famille de téléspectateurs : leur pompe à chaleur a été tellement mal installée qu’elle aurait pu les mettre en danger de mort. Ce n’est que la pointe de l’iceberg : depuis des années, un acteur de la branche se retrouve mêlé à une multitude de cas d’installations problématiques qui font perdre des sommes considérables à de nombreux romands.