Des milliers de francs extorqués via votre carte de crédit, un photomontage qui vous expose en star du X, de l’argent blanchi à votre nom : les risques liés à nos identités digitales sont sans limites. Face à cette nouvelle menace, les produits d’assurances contre les cyber-risques se multiplient. ABE explore les méandres des menaces en ligne et examine la pertinence des nouvelles assurances offertes aux consommateurs.
Semaine après semaine, les attaques informatiques font la une des journaux. En 2022, nous risquons désormais tous d’être victimes de cybercriminels. Identité usurpée et détournée à des fins criminelles, piratage d’une carte de crédit ou hameçonnage, ABE a recueilli quelques témoignages représentatifs, choisis parmi les nombreux courriers reçus à la rédaction.Les assurances ont développé toute une gamme de produits pour se protéger contre les cyber-risques. Mais que valent ces offres ? ABE a comparé les prestations de 8 produits d’assurances sur la base de plusieurs scénarios.Les victimes de cyberharcèlement ont des moyens de se défendre très limités. ABE a recueilli le témoignage d’une jeune femme qui se bat depuis des années contre ceux qui la persécutent.Dans le monde digital, c’est comme dans le monde réel : les policiers y courent aussi après les bandits. Mais la globalisation du cybercrime représente un défi pour les polices suisses qui sont organisées en structures cantonales.Face à une cyberattaque et des données prises en otage, certaines entreprises cèdent à la pression des hackers et finissent par payer des rançons substantielles dans l’espoir de les récupérer. Reportage dans une maison d’édition suisse victime d’un logiciel malveillant en 2021.Comment s’explique l’augmentation actuelle des cyber-attaques ? En Suisse, a-t-on été naïfs face aux risques de cybersécurité ? Linda Bourget en parle avec Olivier Crochat, directeur du Centre pour la confiance numérique à l’EPFL.
Une téléspectatrice a voulu il y a quelques mois faire de la publicité pour son salon de tatouage. A cette fin, elle a signé un contrat auprès d’une agence de communication pour voir la carte de visite de sa petite entreprise imprimée sur un set de table aux côtés d’autres entrepreneurs de sa région. Mais cela ne s’est pas passé comme prévu. Notre enquête.