Biscuits de Noël : les bonnes pâtes de fin d'année

Noël ne serait pas Noël sans son sapin, ses illuminations et ses traditionnels biscuits. Si l’on n’a pas le temps de faire la pâte soi-même, les industriels ont trouvé la solution : des pâtes à biscuit de Noël toutes prêtes, une spécificité toute helvétique qui rencontre un vrai succès. ABE s'est rendu dans les usines de production des deux grandes enseignes Manor et Coop. Mais en matière de sucreries, les goûts diffèrent selon les régions : les milanais sont les biscuits les plus vendus en Suisse romande, alors que les Suisses alémaniques préfèrent les étoiles à la cannelle et les « Brunsli ». Entre la pâte industrielle et la pâte maison, laquelle coûte le moins cher ? Laquelle prend le moins de temps ? Et surtout laquelle est la meilleure ? Une famille glânoise a fait le test.
Le Suisse est particulièrement gourmand. Chaque année, il engloutit en moyenne plus de 6 kilos de biscuits, dont une bonne partie sont des biscuits de Noël. Cette affection particulière remonte à la nuit des temps. Nous avons retrouvé une recette ancestrale de milanais, écrite dans l’un des plus anciens livres de cuisine de Suisse.
Pâtes à biscuits : quels sont les meilleurs milanais ?
ABE a fait déguster à des experts 6 sortes de biscuits milanais, vendus sous forme de pâte en grande surface.

A noter:
- Les pâtes à biscuits ont été notées à l'aveugle sur une échelle de 1 à 10, selon les critères suivants: la malléabilité de la pâte et le goût des biscuits une fois cuits.
- Pour cette dégustation, nos experts ont reçu pour chaque produit: un échantillon de pâte, des emporte-pièces pour la découper, et un biscuit préparé selon les instructions indiquées sur le paquet correspondant.

Nos dégustateurs:

- Jérémy Ramsauer
La Chocolaterie, Sierre

- Eliane Lambercy
Boulangerie et biscuiterie La Fleur, Premier (VD)

- Mélanie Romero
Royaume Melazic, Lausanne

- Christophe Ackermann
Ackermann Artisan Boulanger, Les Tuileries-de-Grandson et Lausanne

- Céline Clostre
C si simple, Grand-Lancy

Voici les résultats de cette dégustation :

Temu, c’est l’application de shopping la plus téléchargée du moment. Elle met en relation des acheteurs avec des vendeurs, des fabricants ou des marques du monde entier, et propose une immense variété d’objets à des prix très bon marché. Et ça marche très fort puisqu’elle devrait générer cette année 16 milliards de dollars de recettes. Mais derrière ce succès, il y a aussi les critiques : produits non conformes, parfois dangereux et de qualité discutable. Nous avons acheté un certain nombre de produits, et en avons fait tester certains dans un laboratoire spécialisé.
Parmi nos commandes, nous avons fait tester 4 objets de sécurité. Tous ont été déclarés non conformes, est-ce surprenant ? Que risque un client suisse qui commande des objets non conformes aux normes de notre pays ? Une assurance prendrait-elle en charge les frais en cas d’accident ? En cas de blessure et d’accident, Temu dit vouloir travailler avec les vendeurs. Qu’est-ce que cela signifie ? Peut-on se retourner contre Temu et demander des dommages et intérêts ? Être une place de marché, cela donne-t-il le droit de ne pas respecter les règlementations et les normes des pays ? Existe-t-il d’autres plateformes similaires à Temu ? François Egger en parle avec Karola Krell Zbinden, avocate spécialisée dans la sécurité des produits.

Vous pensez que votre ordinateur est infecté par un virus, une personne vous vient miraculeusement en aide et vous vous trouvez délesté de plusieurs milliers de francs. C’est le scénario très bien rôdé d’une escroquerie qui a déjà lésé plusieurs centaines de Romands. Le témoignage d’un téléspectateur.