Symbole de luxe et de raffinement, le cuir nous habille et nous chausse depuis la nuit des temps. ABE a testé de nombreux objets en cuir, certains contiennent des substances peu recommandables. Son équipe vous emmènera aussi dans les tanneries italiennes et sur les traces de nouvelles matières qui se substitueront, peut-être, à la peau de bête.
Il nous habille depuis la nuit des temps, le cuir, c’est une matière à la fois précieuse et très commune. Des peaux essentiellement de veau et d’agneau, traitées pour devenir du daim, du nubuck ou encore du cuir pleine fleur. Notre reportage.
Il est très difficile de savoir d’où vient le cuir que l’on porte. La question est sensible, parce que les conditions de production comportent des risques. Le tannage se fait en effet avec des produits toxiques, dangereux tant pour l’environnement que pour les travailleurs. Des travailleurs aux prises avec des machines qui menacent elles aussi leur sécurité.
Des substances problématiques dans les produits en cuir ?
D’où qu’il vienne, le cuir peut contenir des substances problématiques, en particulier du chrome 6, une substance cancérigène quand on la respire, mais aussi allergène au contact de la peau.
ABE a fait tester en laboratoire 18 produits en cuir achetés en grandes surfaces, dans des magasins spécialisés et sur internet. Résultats : 1 seul produit sur 18 dépasse la norme pour le chrome 6, fixée à 3 milligrammes/kg.
Du pseudo cuir sans cuir, c’est possible : certains se spécialisent aujourd’hui dans la préparation de simili cuir à base non pas uniquement de matériaux synthétiques, mais de résidus de plantes. Nos explications.
D’où qu’il vienne, le cuir peut contenir des substances problématiques, en particulier du chrome 6, une substance cancérigène quand on la respire, mais aussi allergène au contact de la peau.
ABE a fait tester en laboratoire 18 produits en cuir achetés en grandes surfaces, dans des magasins spécialisés et sur internet. Résultats : 1 seul produit sur 18 dépasse la norme pour le chrome 6, fixée à 3 milligrammes/kg.
A noter :
- Les produits testés sont des chaussures pour bébés, des sandales, des semelles, des bracelets de montres, une ceinture et des gants de jardinage.
- Résultats des analyses : 1 seul produit sur 18 dépasse la norme fixée à 3 milligrammes/kg, 4 contiennent des traces infimes et 13 ne contiennent rien.
- L’Ordonnance sur la réduction des risques liés aux produits chimiques interdit de mettre sur le marché des articles en cuir destinés à être en contact avec la peau et qui contiennent plus de 3 milligrammes de chrome 6 par kilo.
Voici les résultats du test :
Quand on est motard, on n’a pas l’habitude de devoir payer pour garer son engin sur le domaine public. Mais il existe des exceptions, aussi rares et peu claires soient-elles. Le récit de l’un de nos téléspectateurs qui a eu la désagréable surprise d’être mis à l’amende pour un parcage au bord d’un étang.
Cette semaine :
• Un téléspectateur a réservé auprès d’une agence un voyage organisé à Abu Dhabi et Dubaï en février dernier. Mais 3 semaines avant le départ, l’agence l’informe que les conditions du voyage ont changé. Notre téléspectateur décide alors de tout annuler. Mais il se rend compte, après avoir épuisé tous les recours, qu’il doit tout de même payer quasiment l’intégralité de la somme due.
• Nos recherchistes ont acheté 2 paquets d’Ovomaltine en poudre qui semblent identiques car de mêmes dimensions. A y regarder de plus près, l’un d’entre eux, vendu par Lidl et Aldi, pèse 750 grammes, alors que l’autre, acheté à Migros, pèse 800 grammes. Aldi et Lidl vendent le produit 1 franc de moins que le celui de Migros. Mais il n’y a en réalité que 6 centimes de différence au kilo entre les 2 produits en raison de l’écart de poids.
• Vous rencontrez un problème avec un produit acheté avec votre carte de crédit ? Vous avez par exemple acheté un produit en ligne et le colis n’est jamais arrivé ? Si le revendeur n’entre pas en matière, vous avez la possibilité de vous tourner vers l’émetteur de votre carte pour obtenir un remboursement, en demandant un ‘chargeback’. On appelle ça aussi une rétro facturation ou une contestation. Un conseil tiré du magazine Bon à savoir.