A l’origine le lait était de vache forcément. Mais en 2024 le rayon des produits laitiers regorge de boissons végétales qui imitent le lait. Jus de soja, d’avoine, de riz, d’amandes. A l’intérieur beaucoup d’eau et d’ajouts pour approcher les valeurs nutritives du lait, mais ces boissons sont-elles équilibrées ?
Depuis quelques années, les alternatives au lait se multiplient : à base d’avoine, de soja, de riz ou encore d’amandes. On en trouve jusqu’à 50 références à la Coop par exemple. Des emballages qui ont la forme et l’apparence des briques de lait, et pourtant, le produit à l’intérieur n’a rien à voir. ABE décortique le succès de ces boissons.
Le marché des boissons végétales est en pleine croissance, même si les recettes de ces produits ne sont pas nouvelles. Saviez-vous qu’en Suisse, la bourgeoisie dégustait déjà du lait d’amande il y a plus de 400 ans ?
La recette du lait d’amande artisanal n’a guère changé depuis. Quant à la composition des boissons végétales que l’on trouve dans le commerce, elle est parfois beaucoup plus complexe. Plus la liste des ingrédients est longue, plus il faut se méfier. Nous avons passé les jus végétaux au crible, avec l’aide d’une diététicienne.
Les boissons végétales sont souvent mises en avant comme des alternatives plus écologiques que le lait de vache. Mais qu’en est-il réellement ? Comparaisons dans ce reportage.
On a vu dans notre reportage qu’un litre sur 7 de lait vendu à la Coop est une alternative végétale au lait de vache. Des produits qui sont par ailleurs plus chers que le lait de vache. Comment interpréter ce chiffre ? Les fabricants de boissons végétales mettent en avant le faible impact sur l’environnement et le respect du bien-être animal. Quels sont les arguments du lait face à ceux-ci ? Linda Bourget en parle avec Denis Etienne, responsable durabilité, Swissmilk.
Tout propriétaire d’une voiture le sait : le moindre dégât sur la carrosserie coûte une fortune. Alors, imaginez votre effroi quand après avoir eu un accident avec votre véhicule neuf, vous découvrez que vous n’avez pas de casco. C’est ce qui est arrivé à l’une de nos téléspectatrices.
Vous avez commandé un objet sur internet sur un site que vous pensez suisse, mais lorsque vous avez reçu votre commande, elle venait directement de Chine ? Le site en question pratique vraisemblablement le ‘drop shipping’, une méthode de vente qui agace de nombreux consommateurs. Définition et explications avec notre chroniqueuse Leïla Rölli.