Biscuits, galettes de riz, compotes, barres de céréales, les rayons des supermarchés regorgent de goûters pour enfants de toute sorte, pour tous les goûts, aux emballages attractifs. La moitié d’entre eux ont pourtant une composition inadaptée aux enfants. Trop de sucre, de graisse, trop d’aliments ultra-transformés. Analyses de leur qualité nutritionnelle et conseils pour des goûters équilibrés dans cette émission.
La fin août, c’est le moment où les petits Romands reprennent le chemin de l’école. Avec chaque jour, dans le cartable un goûter pour la récréation. Le problème, c’est que la plupart des snacks destinés aux enfants sont trop sucrés, ultra transformés et plutôt chers. Notre décryptage.
On a vu dans le reportage l’exemple de sticks de poisson quatre fois plus chers que le même produit en version standard. Y-a-t-il d’autres exemples ? La gamme de produits pour enfants Jamadu a été citée plusieurs fois dans l’émission, pour quelle raison ? Que répond la Coop aux critiques concernant certains produits de cette gamme ? Linda Bourget en parle avec Lison Méric, la journaliste qui signe ce reportage.
Le goûter est un moment important pour un enfant. En Suisse, il est traditionnellement composé d’aliments sucrés. Mais attention : certains produits industriels, plutôt équilibrés en apparence, sont en réalité bourrés de sucres cachés. Alors comment manger sainement au goûter ? Eléments de réponse avec une diététicienne.
Nos enfants sont exposés aux aliments industriels sucrés et ultra transformés dès le plus jeune âge. Mais c’est à l’adolescence que les professionnels de santé constatent les premiers effets sur leur santé : le surpoids et l’obésité concernent en effet un adolescent sur quatre en Suisse. Devenus adultes, ces jeunes auront plus de risques de développer un diabète et des maladies cardiovasculaires.
Au Royaume-Uni, la malbouffe des enfants entraîne des conséquences très concrètes : un enfant britannique sur trois est en surpoids, et ce chiffre ne fait qu’augmenter. À tel point que les plus jeunes voient leur espérance de vie baisser de manière drastique. Le reportage de notre correspondant au Royaume-Uni.
Aujourd’hui, tout le monde, ou presque, porte des sneakers. Le design et le marketing sont les critères les plus importants lors de l’achat, mais qu’en est-il de la longévité de ces chaussures populaires ? Nos confrères de l’émission Kassensturz et du magazine Ktipp ont fait tester en laboratoire la robustesse de 14 paires de baskets achetées entre 30 et 230 francs en magasin ou sur internet.
A noter :
· Les baskets ont été notées sur une échelle de 1 à 6 selon les critères suivants : la résistance des semelles à la flexion, l’usure des semelles notamment dans la zone du talon. Le laboratoire a aussi testé si les baskets contenaient des substances nocives.
· Le test comprend également quelques modèles de baskets qui ont marqué l’Histoire : All Stars de Converse, Stan Smith de Adidas, Nike Air Force et Puma Suede Classic.
Voici les résultats de ce test :
