Qui dit ski, dit équipement et budget conséquent. Comment choisir au mieux son matériel ? Quelles sont les bonnes questions à poser lors de la location ? Adultes, enfants, débutants ou skieurs avertis, chacun a des besoins différents. ABE vous éclaire avec des conseils pratiques et concrets. Notre équipe vous emmène également en Belgique, le plat pays qui construit de toutes pièces des stations de ski « indoor ».
Chaque hiver, c’est le même rituel : pour aller skier, il faut s’équiper. Si vos enfants sont petits, c’est chaque année qu’il faut tout changer. Mais pour avoir un bon équipement, cela a son prix ! Achat ou location ? Grande surface ou petit commerce ? Matériel de pointe ou entrée de gamme ? Nos conseils avisés pour vous aider à répondre à toutes ces questions.
Entre le coût du matériel, le prix des remontées mécaniques qui a pris l’ascenseur, ainsi que celui du logement, le budget d’une semaine de vacances de ski en Suisse pour une famille de 4 personnes est en moyenne de plus de 5700 francs.
Le ski en Suisse est-il devenu trop cher ? On constate depuis quelques années que les Suisses skient de moins en moins. Comment remettre les Suisses sur des skis ? Les petites stations sont aujourd’hui souvent en difficulté. Les collectivités publique peuvent-elles agir à ce niveau-là ? Linda Bourget en parle avec Dominique Gindraux, directeur de l’Ecole suisse de Ski, de Neuchâtel région.
La ville belge de Comines a construit un ski-dôme, un hangar en pente qui met à disposition deux pistes de ski parallèles de 80 et 210 mètres de longueur. L’occasion de s’initier aux joies du ski pour des familles qui, dans un contexte d’inflation, réfléchissent à deux fois avant de partir une semaine complète à la montagne.
Nos recherchistes sont allés acheter des frites en haut des pistes dans 13 stations alpines. Ces frites ont ensuite été envoyées au laboratoire du chimiste cantonal à Neuchâtel. Bonne nouvelle : toutes les frites analysées sont en-dessous de la norme légale pour l’acrylamide. Il y a quelques années, des analyses d’ABE avaient révélé la présence de cette substance cancérigène à des taux élevés dans des frites vendues en Suisse romande.
L’émission Kassensturz a fait tester en laboratoire 5 mini caméras tout terrain parmi les plus vendues en Suisse. Résultats : pour de belles images en action, il faut mettre le prix.
A noter : Les caméras ont été testées en laboratoire mais également en conditions réelles, à l’extérieur.
Les caméras ont été notées sur une échelle de 1 à 10 selon les critères suivants : la qualité de l’image (le rendu des couleurs, la restitution des contrastes, la gestion des déplacements, la gestion des images en mouvement), l’autonomie de la batterie, la qualité du stabilisateur, ainsi que la qualité du son.
Voici les résultats du test:
Cette semaine :
Une série de pannes automobiles prend beaucoup d’ampleur chez nos voisins européens, alors que ces problèmes commencent seulement à être connus en Suisse. En cause, le moteur PureTech, fabriqué par le groupe Stellantis, installé sur certains modèles de Peugeot, Citroën et Opel. Depuis quelques années, de plus en plus de propriétaires de ces véhicules se retrouvent avec les mêmes problèmes : surconsommation d’huile et courroie qui lâche prématurément. ABE a recueilli le témoignage d’une téléspectatrice concernée par une panne similaire qui a dû batailler pour obtenir la prise en charge de ses réparations. Les dédommagements du groupe Stellantis* (présentés ci-dessous) peinent à convaincre la clientèle qui a lancé une action collective en France. En Suisse, les consommateurs ne disposent pas de cet outil pour se défendre.
Des rappels dans le secteur automobile cela n’a rien d’exceptionnel. Pourquoi dans ce cas-ci c’est important ? Dans beaucoup de cas, la prise en charge des réparations ne comprend que les pièces, et non les frais de main-d’œuvre qui peuvent atteindre 3000 francs pour changer un moteur, comme ça a été le cas pour notre témoin. Est-ce acceptable pour les clients ? En Suisse, quels sont les moyens de se défendre ? Linda Bourget et Elisa Casciaro en discutent avec Jacques Roulet, avocat.
*Voici la politique de prise en charge présentée par Stellantis :
• Pour la consommation excessive d'huile : le coût est pris en charge à 100% jusqu’à 5 ans / 100 000 kms puis de >5 à 8 ans / 150 000 kms, la prise en charge se limite aux pièces uniquement
• Pour le défaut de pression d’huile : un contrôle de la courroie de distribution est mis en place à chaque entretien et toutes les opérations correctives nécessaires sont effectuées gratuitement jusqu'à 6 ans / 100 000km. Une nouvelle courroie de distribution résistante au vieillissement de l’huile est appliquée en production et en après-vente depuis mi-2022.