L'émission du 15 novembre 2017
Depuis 10 jours, les super-riches sont à nouveau montrés du doigt dans le cadre des Paradise Papers. D'un côté, ceux qui font de l'optimisation fiscale. De l'autre, ceux qui font du business avec les plus corrompus des Etats africains, notamment certaines multinacionales basées en Suisse. Est-ce toujours illégal ou simplement amoral ? Jusqu'où peut-on les accepter ? ET faut-il plus de contrôles pour éviter de telles pratiques, comme le demande la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga ?