Infrastructures: la Suisse a-t-elle raté le train?
C’est l’une des lignes CFF les plus fréquentées de Suisse et il a suffi d’un trou pour la mettre hors service pendant plusieurs jours. Au-delà du chaos qu’il a provoqué pour des dizaines de milliers de pendulaires, l’incident survenu la semaine passée à Tolochenaz a révélé au grand jour la fragilité de la ligne entre Lausanne et Genève.
Comment une ligne si importante peut-elle être si vulnérable? Est-elle le symbole d’une Suisse romande oubliée dans les stratégies de développement du rail? Et alors que la Suisse voit ses routes toujours plus engorgées, qu’elle redoute une pénurie d’électricité et qu’elle semble avoir des années de retard dans son développement numérique, a-t-elle tout simplement oublié d’investir dans ses équipements stratégiques?
Infrastructures: la Suisse a-t-elle raté le train? C'est le débat mercredi 17 novembre #RTSInfrarouge
Présentation: Alexis Favre
Publié
Invités
Nuria Gorrite, présidente du Conseil d'Etat VD, cheffe du département des infrastructures et des ressources humaines
Serge Dal Busco, président du Conseil d’État GE, chef du département des infrastructures
Olivier Français, conseiller aux États PLR/VD, membre de la commission des transports et des télécommunications
Pierre-André Meyrat, directeur suppléant de l’Office fédéral des transports, en charge des finances
Daniel Mange, professeur émérite EPFL, membre du comité de la citrap-vaud
Cédric Tille, professeur d'économie internationale, Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)