Vivre la vie dont on a rêvé ! Dans le premier reportage, Sandrine a quitté la ville et son métier de fleuriste pour assumer seule, à l’âge de 24 ans, la gestion de la cabane des Diablerets. Le deuxième sujet nous invite à découvrir le mode de vie des nomades de Mongolie : la yourte, une habitation qui rappelle, d’après ses habitants, le ventre de la mère… Quant à la balade, elle prend des allures de Grand Nord avec une escapade en chiens de traîneaux dans les Franches-Montagnes.
Ma liberté en cabane
Etre gardienne de cabane à 24 ans, c’est plutôt rare. Pourtant, c'est bien le défi que s’est lancé l’an passé Sandrine Zweilli en reprenant à son compte la Cabane des Diablerets. Citadine et ancienne fleuriste, Sandrine a tout lâché pour travailler là-haut, juste au pied du Glacier. A la recherche d'une vie meilleure et plus sereine, elle a fait le choix de se retirer du monde pour s’engager pleinement auprès des hôtes qu’elle accueille avec savoir-faire et beaucoup de générosité. Portrait d’une jeune femme pleine d’ambition et croqueuse de la vie.
Un reportage de Dominique Clément
Le coeur de la yourte
Ils sont tombés amoureux de la yourte, l'habitat des nomades de Mongolie, car c’est un logis évolutif qui vit et qui respire avec les saisons. Une structure en bois, recouverte de toiles, mais c’est en réalité bien plus que ça. Ces maisons semblent avoir une personnalité, de la chaleur, une âme en plus… C’est du moins ce que nous racontent les personnages de ce reportage, Andrea, qui a créé un village de yourtes dans le canton de Lucerne, Stéphanie et Amidou, qui explorent la vie nomade depuis trois ans avec leurs deux jeunes enfants qui n’ont jamais connu d’autres maisons.
Un reportage de Bronwen Cowley