Cette semaine « Passe-moi les jumelles » vous emmène à la découverte d’une des plus belles cavités de Suisse, la grotte de Milandre. Située aux confins du Jura, cette grotte est l’une des plus étudiées en Europe. Matthieu Fournier l’explorera en compagnie de Marc Luetscher, spécialiste du paléoclimat. Côté reportages, deux portraits étonnants. Celui de Jérôme Salgat, qui à 34 ans a choisi la voie de ses ancêtres en vivant de manière simple et autonome. Puis la trajectoire inédite de Mustafa Ceylan, un jeune homme d’origine turque. A l’âge de 15 ans il s’est découvert une passion absolue pour le ski et depuis, sa vie a basculé !
Jérôme Salgat au passé composé et Mustafa, une vie hors-piste
Au passé composé
Jérôme Salgat a choisit de faire un pieds de nez à notre société et de suivre la voix de son coeur, celle de ses ancêtres qui savaient vivre de manière épurée et autonome. À Isérables, il rénove sa maison et s'adonne à ses passions ; les chevaux et le charronnage, un métier ancestrale.
Il dit ne pas être né dans le bon siècle, et se sentir en profond désaccord avec notre mode de consommation moderne. Admiratif de ses ancêtres qui savaient vivre simplement et de manière autonome, Jérôme Salgat a choisi de faire un pied de nez à notre société et de suivre la voie de son cœur. À Isérables en Valais, ce jeune homme de 34 ans rénove sa maison pour la rendre autonome et s'adonne depuis plus d'une année à ses passions : les chevaux et le charronnage, un métier ancestral.
Un reportage de Yannick Bacher
Mustafa, une vie hors-piste
L’histoire d’un jeune d’origine turque destiné à une carrière de footballeur. Mais un jour, le destin dépose une paire de ski en travers de son chemin.
Mustafa grandit à Montreux dans une famille turque. Destiné à une carrière de footballeur, ce jeune prodige du ballon rond se découvre, à l’âge de 15 ans, une passion absolue pour le ski freestyle. Sa vie bascule. Mustafa passe dès lors sa vie à la montagne. N’ayant peur devant rien, il apprend en chutant, encore et encore. À force de détermination, il finit par faire de cette passion son métier.
Un reportage de Jules Guarneri et Benoît Goncerut