L'UDC bernoise épinglée pour le non-respect des mesures sanitaires lors de son assemblée mardi soir

Les campings et sites de vacances suisses seront vraisemblablement beaucoup occupés par des locaux cette année encore. Mais ils risquent de s'envoler à nouveau vers d'autres contrées l'année prochaine.

En Valais par exemple, l'observatoire cantonal du tourisme s'est intéressé aux derniers comportements de réservation des Suisses. Pour la RTS, il a compilé les statistiques de réservations dans 5000 établissements valaisans. Résultat: par rapport à cette même semaine l'an dernier, les Suisses sont 13% de plus à réserver leurs vacances d'été au pays.

Certaines familles évoquent notamment l'incertitude, au moment de faire les réservations, au sujet de l'évolution des mesures sanitaires. Et une expérience des vacances au pays pleinement satisfaisante l'année précédente.

Toutefois, "il ne faut pas oublier que c'est une situation très évolutive", rappelle Nicolas Délétroz, responsable de l'observatoire. "Il n'y a pas plus tard que deux mois, ce chiffre de 13% était aux alentours de 40%. Donc ce monitoring des réservations que nous faisons au fil des semaines montre quand même un effritement linéaire assez important", détaille-t-il dans le 19h30.

>> Le reportage à Sion du 19h30 :

>> Regarder également l'interview d'Estelle Mayer, présidente de la Société des hôteliers Montreux-Vevey :

La direction de l'UDC cantonale bernoise a exprimé ses regrets mercredi au lendemain d'une assemblée durant laquelle les gestes barrières n'ont pas été respectés. Près de 375 personnes étaient réunies mardi soir à Belp pour élire leur nouveau président.

>> Lire : Le francophone Manfred Bühler élu à la tête de l'UDC bernoise

Des rangs bien remplis, des poignées de main animées et quasiment aucun masque: les mesures sanitaires actuelles pour lutter contre la pandémie sont loin d'avoir été le mot d'ordre de l'UDC bernoise.

Près de 160 membres du parti s'étaient inscrits, mais 375 personnes se sont finalement présentées. "Nous avons été complètement surpris par cette ruée", a déclaré mercredi le président sortant Werner Salzmann sur les ondes de la radio alémanique SRF.

Selon l'UDC, la salle de Belp pouvait accueillir au moins 550 personnes assises sur des sièges appropriés. Cependant, les restrictions imposées par le Conseil fédéral stipulent que seuls deux tiers de la capacité de la salle peuvent être utilisés pour des événements sans certificat Covid. Puisqu'il y avait encore 50 invités dans la salle, le nombre autorisé a possiblement été dépassé.

Responsabilité individuelle

Une membre de la direction du parti, Aliki Panayides, a souligné que les dirigeants du parti présents sur la scène avaient rempli leur rôle d'exemple et porté leur masque. Pourtant, l'ancien conseiller national et actuel maire de Cortébert Manfred Bühler, élu mardi, ne portait lui-même pas de masque lorsqu'il a accepté les félicitations du conseiller d'Etat bernois en charge de la santé, Pierre Alain Schnegg.

Aliki Panayides a ajouté que du personnel était également présent dans le salle pour rappeler que le port du masque était obligatoire. "Mais au bout du compte, les gens sont responsables d'eux-mêmes", a-t-elle dit.

"Nous avons la chance d'avoir une population déjà très vaccinée, et le traçage complet des présences était assuré mardi soir. Alors on me pardonnera quelques écarts qui sont à l'image de ce qu'il se passe avec l'Euro de football", a réagi Manfred Bühler mercredi soir dans l'émission Forum sur la RTS.

De son côté, Pierre Alain Schnegg a dit regretter que "les gens oublient si vite ce qui s'est passé au cours des seize derniers mois".

La soirée s'est terminée par le chant à pleins poumons du classique "Bärnbiet" de Jakob Ummel par toute la salle.

La vaccination de proximité contre le Covid-19 correspond aux attentes dans le canton de Vaud. Elle touche quotidiennement entre 50 et 70 personnes, a annoncé la protection civile au 5e jour d'une opération dans des quartiers et centres commerciaux.

Le nouveau dispositif vise à approcher les personnes n'ayant pas encore eu accès à la campagne de vaccination, en raison notamment de problème de langue, de précarité ou de fracture numérique. Son autre objectif est de donner des renseignements à la population, a déclaré mercredi à Yverdon-les-Bains (VD) le colonel Louis-Henri Delarageaz, commandant de la Protection civile vaudoise.

Après avoir touché l'ensemble de la population dans les hôpitaux et les grands centres de vaccination, "les derniers pourcents sont ceux qui demandent le plus d'efforts", a-t-il ajouté.

L'opération devrait durer jusqu'à la fin du mois et sera adaptée en fonction des résultats.

Les CFF prévoient actuellement de 15 à 60 minutes de retard pour les trains à destination de l'Italie. En cause: les autorités italiennes effectuent des contrôles aux frontières en raison de la pandémie de coronavirus.

>> Lire : L'Italie contrôle tous les passagers des trains Eurocity en provenance de Suisse

Depuis plusieurs jours, les autorités italiennes procèdent à une surveillance étroite de la frontière entre la Suisse et l'Italie, a indiqué Ottavia Masserini, porte-parole des CFF, mercredi à Keystone-ATS, confirmant des informations parues sur le portail d'information Nau.

La compagnie ferroviaire conseille donc à ses clients de se munir de tous les documents exigés par l'Italie et de prévoir un temps de voyage supplémentaire. Des négociations sont en cours pour améliorer cette situation, a ajouté Ottavia Masserini.

Situation "insatisfaisante"

Le porte-parole de l'Office fédéral des transports (OFT) a lui décrit la situation comme "insatisfaisante", également interrogé par Keystone-ATS. Et d'indiquer que l'ambassade suisse à Rome est en contact avec les autorités italiennes.

Pour les personnes entrant en Suisse, l'Administration fédérale des douanes (AFD) rappelle que l'ordonnance correspondante repose sur la responsabilité des voyageurs. Et de préciser à Keystone-ATS qu'elle effectue des contrôles en fonction des risques et de la situation ainsi que de manière aléatoire. Si des voyageurs proviennent de pays ou de régions présentant des variantes de virus préoccupantes, la

Mercredi, l'Office fédéral de la santé publique a fait état de 295 cas supplémentaires de coronavirus en 24 heures. Trois décès sont à déplorer et dix malades ont été hospitalisés.

Durant les dernières 24 heures, les résultats de 23'260 tests ont été transmis, indique l'OFSP. Le taux de positivité s'élève à 1,27%.

Sur les quatorze derniers jours, le nombre total d'infections est de 1994, soit 23,07 nouvelles infections pour 100'000 habitants. Le taux de reproduction, qui a un délai d'une dizaine de jours, est lui de 1,16. Les patients Covid-19 occupent 3,30% des places disponibles en soins intensifs, dont le taux d'occupation est de 68,90%.

Depuis le début de la pandémie, 704'352 cas de contamination au Covid-19 ont été confirmés en laboratoire sur un total de 8'482'848 tests effectués en Suisse et au Liechtenstein. Le total des décès s'élève à 10'366 et le nombre de personnes hospitalisées atteint 29'195.

Plus de 3,5 millions de certificats

Le pays dénombre par ailleurs 1165 personnes en isolement et 1932 individus faisant partie de leurs contacts ont été mis en quarantaine. S'y ajoutent 1366 autres personnes revenant de voyage d'un pays à risque et qui ont dû aussi passer par la case de la quarantaine.

Au total 7'742'005 doses de vaccin ont été administrées et 3'272'008 personnes ont déjà reçu deux doses. La Suisse a reçu jusqu'à présent 8'870'475 doses de vaccins. Des certificats ont déjà été émis pour 3'517'200 personnes vaccinées.

Tourner définitivement la page du Covid-19 peut s'avérer très long dans certains cas. Et pour la première fois en Suisse, une étude quantifie le phénomène de ce qui est appelé le Covid long: elle a été menée par les Hôpitaux universitaires de Genève et l'Université de Genève.

Près de 40% des personnes qui ont participé à cette recherche présentent encore des symptômes plus de sept mois après leur infection. Une proportion élevée, estime Idris Guessous, chef du service de médecine de premiers recours des HUG et responsable de l'étude.

Fatigue, perte du goût ou de l'odorat, essouflement...

L'étude a été effectuée auprès de 410 personnes qui ont été infectées par le virus mais sans complications graves qui auraient nécessité une hospitalisation. Au total, 39% de ces personnes qui ont été diagnostiquées positives au Covid-19 ont déclaré des symptômes qui persistent sept à neuf mois après la contamination.

Parmi ces séquelles, la fatigue est la plus fréquente (20,7%), suivie de la perte du goût ou de l'odorat (16,8%), l'essoufflement (11,7%) et enfin les maux de tête (10%). Ces résultats sont comparables aux études internationales du même type qui ont été menées, mais avec un nombre de participants plus restreint.

Devant le Covid long, les hommes et les femmes ne sont pas égaux, semble-t-il. La doctoresse Mayssam Nehme, cheffe de clinique au Service de médecine de premier recours des HUG, constate que les patientes sont plus exposées à la fatigue, aux essoufflements et aux maux de tête.

En revanche, l'âge ne joue aucun rôle dans l'apparition d'un Covid long. "Toutes les catégories sont touchées, y compris les personnes jeunes et en bonne santé".

>> Ecouter l'interview d'Idris Guessous dans le 12h30 :

Keystone - Martial Trezzini

Les premiers camps ont démarré lundi dans le canton de Vaud. Cette année encore, les concepts sanitaires sont de mise. Les participants et les accompagnants doivent notamment s'autotester 24 heures avant de partir. Cette année, les organisateurs sont toutefois rodés et plus sereins. Quant aux enfants, ils n'ont pas besoin de partir masqués.

"Tout un travail a été fait avec l'Office du médecin cantonal. Ce n'était pas gagné d'avance!", a témoigné dans le 12h30 de la RTS le secrétaire général du groupe de liaison des activités de jeunesse pour le canton de Vaud (GLAJ-Vaud) Jean-Paul Stadelmann. "Beaucoup de travail a été fait pour avoir des vacances presque normales".

Si un cas positif est détecté durant le camp, le dispositif sera le même que l'an dernier. "On séparera le participant du groupe, puis on organisera un contrôle médical et c'est le médecin cantonal qui prendra une décision pour la suite du camp", explique Jean-Paul Stadelmann.

>> Ecouter son interview dans le 12h30 :

Yanlev

Plus de 80% du personnel d'Unisanté à Lausanne est vacciné contre le Covid-19, selon un sondage publié mercredi. Les  collaboratrices et collaborateurs en contact direct avec les patients sont 84% à avoir reçu au moins une dose. Le sondage sera élargi dans les prochains jours à une dizaine d’établissements hospitaliers du canton de Vaud, dont le CHUV.

Le sondage interne et anonyme a été mené en juin. Un courriel a été envoyé aux 819 personnes employées à Unisanté (personnel soignant et administratif). La participation très importante au questionnaire (82,3%) révèle que 80% des collaborateurs ont reçu une à deux doses de vaccin, rapporte le Centre universitaire de médecine générale et santé publique de Lausanne.

Parmi les 22% de personnes non vaccinées à ce jour, seul un quart déclare ne pas souhaiter l’être (30% hésitent et 39% le prévoient). La crainte des effets secondaires potentiels et l’opinion que le vaccin a été développé trop tôt sont les principales raisons invoquées par les personnes refusant d’être vaccinées.

Le sondage sera élargi dans les prochains jours à d’autres institutions de soins. Parmi eux, les établissements hospitaliers de la Fédération des hôpitaux vaudois (FHV) et le Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV).

>> Faut-il rendre la vaccination anti-Covid obligatoire pour le personnel soignant? Réécouter l'interview à Forum de Beatriz Rosende, secrétaire centrale au Syndicat des services publics, responsable du secteur de la santé :

Des contrôles sanitaires systématiques sont effectués par les autorités italiennes à bord des trains Eurocity en provenance de Suisse et à destination de Milan. Tous les passagers doivent être munis d’un certificat de vaccination ou d’un test Covid de moins de 48 heures.

Alors que les contrôles aléatoires aux douanes routières entre le Tessin et l'Italie restent très rares, les usagers des trains sont nettement moins bien lotis et doivent faire preuve de patience.

Selon le site Watson, c'est le cas en particulier en direction de la gare Centrale de Milan, pour les voyageurs en provenance de Suisse qui passent par le Simplon ou par Côme.

Dans les trains Eurocity, les autorités italiennes passent tout le monde au peigne fin et vérifient si les voyageurs sont bien munis d'un certificat de vaccination Covid ou d'un test Covid négatif effectué moins de 48 heures plus tôt.

>> Lire aussi : L'Italie contrôle tous les passagers des trains Eurocity en provenance de Suisse

Il y a un an jour pour jour, le masque entrait dans notre quotidien, avec l'obligation de le porter dans les transports publics, et qui s'est ensuite étendue aux magasins, à certains espaces extérieurs, aux entreprises, ou encore aux écoles.

Durant cette dernière année, une chose est sûre: le masque n'a pas toujours fait l'unanimité. D'autant qu'au début, lorsque les stocks n'étaient pas suffisants, son efficacité faisait débat. Le Conseil fédéral avait notamment affirmé qu'il pouvait donner un faux sentiment de sécurité aux gens, et que la population ne respecterait plus les règles de distanciation.

Quoi qu'il en soit, aujourd'hui de nombreuses études, notamment internationales, démontrent son efficacité, comme le souligne Martin Ackermann, président de la task force scientifique de la Confédération.

"Et ça se voit aussi clairement par l'expérience, dans le domaine de la santé, où le nombre d'infections, dans les hôpitaux par exemple, a beaucoup diminué depuis qu'on porte des masques régulièrement."

>> Voir le sujet de Forum :

La Suisse qui était techniquement prête attendait encore un feu vert pour être effectivement connectée au système de passeport sanitaire européen. Mais il fallait encore qu'un comité spécial composé de représentants de tous les Etats membres de l'Union européenne donne son aval. C'est désormais chose faite, ont confirmé quatre sources européennes à la RTS.

Il reste maintenant à la Commission européenne à approuver la décision par une procédure écrite qui est en cours. D'où la légère incertitude sur la date d'entrée en vigueur, même si tout le monde s'accorde à dire que le plus tôt sera le mieux. On parle dans le meilleur des cas de vendredi, ou de lundi prochain au plus tard.

Une fois l'accord officiellement notifié, le passeport sanitaire suisse sera valable dans les 27 pays de l'Union européenne, plus l'Islande et la Norvège, ainsi que dans trois micro-Etats sur le continent.

>> Lire l'article complet : La reconnaissance européenne du certificat sanitaire suisse serait imminente

La part du variant Delta augmente assez fortement en Suisse et approche désormais les 30%, a indiqué Virginie Masserey, cheffe de la section contrôle des infections de l'Office fédéral de la santé publique. Cette évolution peut expliquer la hausse du nombre de nouveaux cas en Suisse.

En observant ce qu'il se passe ailleurs, notamment en Grande-Bretagne et en Israël, où le variant domine depuis quelques temps, on remarque une hausse des nouvelles infections, mais pas des hospitalisations, a ajouté Virginie Masserey lors du point de presse des experts de la Confédération.

La part élevée de personnes vaccinées dans ces pays peut y avoir contribué. La majeure partie des personnes hospitalisées actuellement en Suisse sont des personnes non vaccinées. Les cas dans les groupes d'âge bien vaccinés sont rares.

Les vaccins restent la réponse et ceux qui sont autorisés en Suisse sont très efficaces, a rappelé l'experte de l'OFSP. Actuellement, 38% de la population est entièrement vaccinée. Chez les adultes, la part atteint 46%. De plus, 52% des Suisses ont reçu une dose de vaccin et 63% chez les adultes.

Alors que le canton de Vaud a ouvert un centre supplémentaire à Beaulieu Lausanne pour effectuer des tests rapides, le médecin cantonal Karim Boubaker, interrogé dans le 12h45, convient que la demande de tests dépasse désormais la demande pour les vaccins. "C'est quelque chose qui était prévu" avec l'arrivée de l'été et avec les allègements prévus par la Confédération, ajoute-t-il.

"Pour nous le message de prévention demeure très très clair", ajoute toutefois Karim Boubaker. "Ce que l'on veut, ce sont des personnes qui se fassent se vacciner, surtout aux âges qui vont plutôt vouloir se faire tester."

Le médecin cantonal vaudois espère que le côté fastidieux des tests incitera à la vaccination: "Les gens qui vont expérimenter les tests à plusieurs reprises, même si c'est gratuit, décideront peut-être à la fin de se faire vacciner. Les voyages deviennent assez difficiles si on n'est pas vacciné."

A l'heure de la reprise des grandes manifestations comme l'Euro et les festivals de musique, Karim Boubaker conclut que "l'engagement citoyen, c'est de se faire vacciner, plus que d'aller se faire tester tous les 48 heures avec un test rapide."

>> L'interview de Karim Boubaker dans le 12h45 :

Du 28 juin au 4 juillet, 474'027 doses de vaccin contre le Covid-19 ont été administrées en Suisse, selon les données publiées de l'Office fédéral de la santé publique.

En moyenne, 67'718 vaccinations ont été effectuées par jour. Comparé à la semaine précédente, le rythme des injections a ralenti de 12%.

Au total, 7'742'005 vaccinations ont été réalisées jusqu'à dimanche. Jusqu'ici, 3'272'008 personnes ont été vaccinées complètement. Cela signifie que 37,9% de la population a déjà obtenu deux doses de vaccin. Et 1'197'989 personnes n'ont reçu que la première piqûre.

Au total, 8'133'175 doses de vaccin ont été livrées aux cantons. Quelque 737'300 doses de vaccin sont par ailleurs entreposées auprès de la Confédération. Comme il est régulièrement possible d'extraire plus de doses de vaccin des flacons qu'initialement prévu par les fabricants, il est possible que les cantons administrent plus de doses de vaccin qu'ils n'en ont officiellement reçu.

La Suisse compte lundi 449 cas supplémentaires de coronavirus en 72 heures, selon les chiffres de l'Office fédéral de la santé publique (OFSP). On déplore quatre décès supplémentaires et sept malades ont été hospitalisés.

Durant les dernières 72 heures, les résultats de 77'738 tests ont été transmis, indique l'OFSP. Le taux de positivité s'élève à 0,58%.

Sur les quatorze derniers jours, le nombre total d'infections est de 1724, soit 19,94 nouvelles infections pour 100'000 habitants. Le taux de reproduction, qui a un délai d'une dizaine de jours, est lui de 1,15. Les patients Covid-19 occupent 4,00% des places disponibles en soins intensifs, dont le taux d'occupation est de 66,60%.

Au total 7'522'199 doses de vaccin ont été administrées et 3'111'941 personnes ont déjà reçu deux doses. La Suisse a reçu jusqu'à présent 8'870'475 doses de vaccins. Des certificats ont déjà été émis pour 3'359'177 personnes vaccinées.

>> Lire : Le personnel de la santé ne veut pas être obligé de se faire vacciner

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