Un quart des Romands contaminés ces dernières semaines revenaient de vacances

Les autorités sanitaires craignent que les vacanciers qui rentrent de l'étranger ne provoquent une hausse des cas de Covid-19. Car le virus aime voyager. Ainsi, dans les cantons romands, au moins 25% des personnes contaminées durant la dernière semaine de juillet l'ont été hors des frontières de la Suisse. C'est même le cas de 35% des "positifs" du canton de Vaud, qui a le plus haut taux devant le Jura (30%). Seul le Valais fait exception, avec seulement 7% de contaminations à l'étranger, selon des chiffres obtenus par la RTS.

"On s'attendait à ce brassage de population, ainsi qu'au relâchement quand on est en vacances, et donc à cette hausse des contaminations. Le seul message à faire passer à la population, et en particulier celle qui n’est pas vaccinée, c’est de se faire absolument tester au retour de vacances", a plaidé la conseillère d’Etat vaudoise en charge de la santé Rebecca Ruiz dans le 19h30 de la RTS.

Vacanciers fatigués des tests

Mais le message semble atteindre difficilement sa cible, car les voyageurs non vaccinés se font souvent tester plusieurs fois durant leur séjour, pour entrer dans un bar, un club, ou au moment de rentrer en avion. Dès lors, beaucoup ne jugent pas nécessaire de remettre la compresse en Suisse.

Pour l'OFSP, pourtant, chaque test n'est qu'une photographie de la situation à un instant T. Il recommande par conséquent de se faire tester environ 5 jours après les derniers contacts rapprochés sur le lieu de vacances.

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Un laboratoire fribourgeois a développé un protocole de test qui permet de se tester en restant à domicile. Un contrôle vidéo lors du prélèvement à distance permet de répondre aux exigences de l’OFSP et de recevoir un certificat Covid si le test est négatif.

La technique consiste en un prélèvement salivaire sous surveillance. Le protocole est le suivant: la personne qui souhaite se faire tester commande un kit auprès du laboratoire. Elle prend aussi rendez-vous pour un contrôle vidéo avec un opérateur qualifié. Celui-ci va contrôler l'identité de la personne, notamment au moyen d'un document d'identité présenté à la caméra, puis s'assurer du bon déroulement du test. L'échantillon est ensuite envoyé par la poste au laboratoire.

"Le médecin cantonal a posé des exigences très strictes" afin de garantir l'identification du sujet testé, a expliqué dans le 19h30 de la RTS la directrice du Swiss Integrative Center for Human Health Lavinia Alberi-Auber. Ces exigences ont conduit le laboratoire à cette idée de test vidéosurveillé.

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>> Lire aussi : Un autotest sous vidéosurveillance qui donne accès au certificat Covid

Alors que les élus cantonaux ne cessent de promouvoir la campagne vaccinale, sont-ils eux-mêmes vaccinés? Selon une enquête de la RTS, seul un conseiller d'Etat romand manque à l'appel de la piqûre, le PLR valaisan Frédéric Favre.

Sur la quinzaine de cantons qui ont répondu aux questions de la RTS, quatre conseillers d'Etat non vaccinés ont été dénombrés au total. Les trois autres sont deux ministres tessinois et un élu thurgovien.

>> Plus de détails dans notre article : Un seul conseiller d'Etat romand n'est pas vacciné, le Valaisan Frédéric Favre

Pour Frédéric Favre, chacun doit être libre de son choix. "Je soutiens la stratégie mise en place par le Conseil fédéral qui consiste à laisser le choix: se faire vacciner ou non. Les gens font leur propre analyse en prenant compte des divers critères tels que leur âge, leurs antécédents médicaux ou encore leur profession. Il n’y a pas de bon ou de mauvais choix, mais une décision individuelle", a expliqué par écrit l'élu valaisan.

Le conseiller aux Etats socialiste bernois Hans Stöckli, de son côté, estime inadmissible qu'un élu dise ouvertement qu'il ne se fait pas vacciner.

>> Le sujet de Forum et le débat entre Benjamin Roduit, conseiller national (PDC/VS), et Michaël Buffat, conseiller national (UDC/VD) :

Contrairement au trafic voyageurs, le trafic marchandises ferroviaire a continué de progresser depuis le début de l'année en Suisse. La demande a fortement augmenté, non seulement en comparaison avec le deuxième trimestre de l'année dernière (+23,2%), mais aussi par rapport à celui de 2019 (+6,1%), constate le Service d'information pour les transports publics (LITRA) dans son rapport trimestriel publié mardi.

Il s'agit du meilleur résultat depuis 2016. Ce secteur avait déjà mieux résisté à la crise en 2020: sur l'ensemble de l'année, la demande n'y avait baissé que de 5,5% malgré la pandémie.

Actuellement, "nettement moins de 200'000 personnes" sont concernées par le chômage partiel, a expliqué en conférence téléphonique Boris Zürcher, chef de la Direction du travail du Seco.

Le déclin se poursuit. Au mois de mai, les réductions de l'horaire de travail ont touché 257'467 personnes, correspondant à un recul de 15% par rapport au mois précédent. Elles ont eu cours dans plus de 35'500 entreprises, soit 5500 de moins sur un mois. Près de 16 millions d'heures de travail ont été perdues, soit une baisse de 24%.

Près de 900'000 employés concernés en 2020

Un an plus tôt, au début de la pandémie de Covid-19, les RHT concernaient près de 900'000 employés dans quasiment 110'000 entreprises, entraînant la perte de presque 58 millions d'heures de travail.

Boris Zürcher est confiant quant au nombre de personnes concernées par le chômage partiel mais aussi quant à son ampleur. La perte de travail atteint en moyenne 40% par employé, contre presque 50% début 2021.

Selon l'institut de recherches conjoncturelles (KOF) de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich, l'amélioration perçue depuis des mois sur le marché du travail apparaît de plus en plus comme une tendance durable.

>> Voir les précisions du 12h45 :

L'Office fédéral de la santé publique a fait état de 1910 cas de Covid-19 de plus que ceux enregistrés la veille. On déplore un décès supplémentaire et 26 malades ont été hospitalisés.

Durant les dernières 24 heures, les résultats de 18'460 tests ont été transmis, indique l'OFSP. Le taux de positivité s'élève à 10,35%.

Sur les quatorze derniers jours, le nombre total d'infections est de 13'356, soit 154,5 nouvelles infections pour 100'000 habitants. Le taux de reproduction, qui a un délai d'une dizaine de jours, est lui de 1,22. Les patients Covid-19 occupent 8,20% des places disponibles en soins intensifs, dont le taux d'occupation est de 64,80%.

Au total 9'186'128 doses de vaccin ont été administrées et 49,31% des personnes ont déjà reçu deux doses. La Suisse a reçu jusqu'à présent 10'280'775 doses de vaccins. Des certificats ont déjà été émis pour 5'181'254 personnes vaccinées.

Depuis le début de la pandémie, 729'024 cas de contamination au Covid-19 ont été confirmés en laboratoire sur un total de 9'268'459 tests effectués en Suisse et au Liechtenstein. Le total des décès s'élève à 10'413 et le nombre de personnes hospitalisées atteint 29'777.

Le pays dénombre par ailleurs 6518 personnes en isolement et 6674 individus faisant partie de leurs contacts ont été mis en quarantaine. S'y ajoutent 828 autres personnes revenant de voyage d'un pays à risque et qui ont dû aussi passer par la case de la quarantaine.

Depuis le début de la pandémie au printemps 2020, le 12h30 de la RTS a suivi plusieurs patrons et patronnes de petites entreprises confrontés à leurs difficultés spécifiques.

Comment se portent-ils aujourd'hui? Ils témoignent à nouveau pendant deux semaines, comme le garagiste indépendant Arduino Bianchi à Duillier, au-dessus de Nyon (VD).

Son activité a pu se poursuivre, contrairement à d'autres secteurs qui ont dû à nouveau fermer en janvier. Malgré tout, Arduino Bianchi a senti l'effet de ces fermetures et du télétravail obligatoire décrétés par le Conseil fédéral. Son chiffre d'affaires continue de stagner à un niveau inférieur de plus d'un tiers à ce qu'il était avant la crise.

>> Le témoignage d'Arduino Bianchi dans le 12h30 :

RTS - Guillaume Meyer

Les élèves de Suisse romande vont reprendre le chemin de l'école d'ici quelques jours, pour une rentrée scolaire marquée à nouveau par la pandémie. Le Valais a été le premier à donner des détails mardi matin sur les mesures sanitaires décidées, les autres suivront ces prochains jours.

>> Lire aussi : En Valais, les élèves de plus de 16 ans seront vaccinés ou masqués

Le canton a choisi de différencier ses plans de protection selon l'âge et le degré suivi. Les élèves de l'école obligatoire valaisanne n'auront pas besoin de porter le masque, le canton misant sur les tests. A l'école primaire, toute la classe sera testée dès le deuxième élève positif. Et au cycle d'orientation, une stratégie de tests répétitifs sera imposée durant les six premières semaines.

Les gymnasiens et les apprentis valaisans auront également le droit d'enlever le masque, mais seulement s'ils sont vaccinés ou guéris récemment du Covid. Le principe est le même pour les professeurs, quel que soit le degré.

>> Les explications du 19h30 :

La vaccination au coeur de la stratégie

Interrogé par la RTS, le conseiller d'Etat valaisan en charge de l'Education Christophe Darbellay a confirmé que la vaccination avait une place de choix dans la stratégie valaisanne de sortie de crise.

"C'est le moyen de se protéger et de protéger les autres", a-t-il rappelé. "Il n'y a pas d'obligation, c'est une responsabilité de chaque personne. Mais la conséquence, c'est que l'adulte qui ne souhaite pas se faire vacciner doit compter avec le port du masque (…) On est dans une approche très pragmatique, on ne mène pas de débat idéologique".

>> L'interview de Christophe Darbellay dans le 19h30 :

>> L'interview de Jean-Philippe Lonfat, chef du Service de l'enseignement, dans le 12h45 :

Le grand bond de la demande dans les transports publics se fait toujours attendre après la chute due à la pandémie. Au deuxième trimestre de cette année, elle reste environ 40% inférieure aux chiffres 2019 dans le secteur ferroviaire.

L'évolution par rapport à l'année dernière, elle, n'est pas facile à interpréter, souligne mardi le rapport trimestriel du Service d'information pour les transports publics (LITRA).

Le deuxième trimestre 2020, marqué par le premier semi-confinement et d'importantes restrictions, a été celui de la chute brutale des chiffres des transports publics. La demande avait alors diminué de 64% dans le trafic voyageurs.

Cette année, la baisse est de 40,5% (3,17 milliards de personnes-kilomètres) par rapport à 2019 (5,33 milliards de personnes-kilomètres), même si la tendance est restée positive en avril, mai et juin.

Le bilan touristique de l'été s'annonce largement inférieur aux niveaux d'avant la crise du coronavirus, selon une première estimation de Suisse Tourisme. L'organisme anticipe "des résultats globalement inférieurs d'environ 40% par rapport à l'été 2019, année record pour le tourisme suisse".

Après avoir consulté les acteurs de la branche à l'approche de la fin des vacances scolaires, il explique mardi que les hébergements prévoient, en moyenne, un recul de 1% sur un an pour la période des vacances.

>> Les précisions de Cynthia Racine dans le 12h30 :

Keystone - Urs Flüeler

Touristes suisses comme "pilier central"

Les hôtes suisses ont, comme l'an passé, été "le pilier central de la saison touristique estivale", voyageant vers une autre région linguistique que la leur. Mais la concurrence des destinations à l'étranger a été plus importante qu'en 2020, les frontières étant davantage ouvertes.

Les étrangers sont principalement venus d'Allemagne, du Benelux, de France, d'Italie et du reste de l'Europe. Mais les professionnels déplorent toujours l'absence quasi totale de touristes des pays lointains, et en particulier d'Asie, en raison de la pandémie.

La pluie et le froid ont aussi pesé sur le tourisme. Près des deux tiers des prestataires d'hébergement interrogés ont indiqué que la météo a entraîné des annulations de séjours. Le nombre de réservations à la dernière minute a aussi été bridé.

>> Revoir le reportage du 19h30 de dimanche passé :

>> Lire également : Le retour des touristes du Golfe pourrait sauver un bilan estival grisâtre en Suisse

Le personnel non vacciné ou non immunisé, actif dans les établissements médico-sociaux de l'Hôpital du Jura bernois (HJB), devra se soumettre à des tests de dépistage réguliers (tous les 5 à 7 jours) dès lundi prochain. Les visiteurs, eux, devront présenter un certificat Covid valable mais l'obligation du port du masque sera levée.

"Ces mesures permettront de maintenir les visites en garantissant une meilleure protection des personnes les plus vulnérables et d'éviter que les efforts déployés ces derniers mois ne soient réduits à néant", a indiqué mardi l'Hôpital du Jura bernois.

Des tests rapides pourront être effectués dans les centres de dépistage de l'HJB localisés sur les sites de Moutier et Saint-Imier ou auprès d'autres lieux de dépistage qui proposent cette prestation. Ces tests restent pris en charge par la Confédération. Le recours aux autotests ne sera pas valable.

Président de la Conférence intercantonale de l'instruction publique de la Suisse romande et du Tessin (CIIP), le conseiller d'Etat fribourgeois Jean-Pierre Siggen se montre serein à l'approche de la rentrée scolaire.

"Ce qu'il faut savoir, c'est que tous les cantons disposent maintenant de nombreux moyens d'action", a-t-il rappelé mardi dans La Matinale de la RTS. "Selon la situation cantonale, on utilisera un moyen plutôt qu'un autre. On ne peut pas dire que les choses ne sont pas coordonnées, mais il y a une certaine flexibilité".

>> L'interview de Jean-Pierre Siggen dans La Matinale :

Keystone - Jean-Christophe Bott

Une étude menée conjointement par le CHUV, à Lausanne, et par plusieurs hôpitaux français vient d’identifier deux marqueurs sanguins prédictifs d’une forme grave du Covid-19.

C’est une avancée majeure pour une meilleure prise en charge des patients atteints d’une forme sévère de la maladie. La découverte va permettre de mieux anticiper les soins à leur prodiguer.

"Nous avons découvert deux facteurs qui ont augmenté de manière extrêmement précoce chez des patients qui développent une forme très sévère de la maladie", a expliqué le Professeur Giuseppe Pantaleo, co-auteur de cette étude, mardi dans La Matinale de la RTS.

"Donc si, dans une phase très précoce, on peut identifier que la présence de ces deux facteurs augmente de manière simultanée, ça va nous permettre de prendre des décisions beaucoup plus rapides pour la mise en place d'agents thérapeutiques pour bloquer le virus", a poursuivi celui qui est également chef du Service d'immunologie et d'allergie du CHUV à Lausanne.

>> L'interview de Giuseppe Pantaleo dans La Matinale :

UNIL

Des questions liées à la vaccination des adolescentes et adolescents, ou encore les tests à large échelle, se posent en vue de la rentrée scolaire. Les syndicats de l'enseignement y sont favorables et appellent les cantons à définir leur stratégie à quelques jours du retour en classe.

>> Le reportage du 19h30 :

Les organisations faîtières romande et alémanique d'enseignants demandent aux autorités de placer en priorité la protection de la santé de toutes les personnes travaillant dans les écoles pour la prochaine année scolaire. Elles veulent attirer l'attention sur une profession qui souffre de la pandémie de Covid-19.

Pour cela, elles préconisent différentes mesures pour protéger davantage les enseignants et les élèves, notamment en ce qui concerne la qualité de l'air. Il ne suffit pas d'ouvrir les fenêtres dans les classes, a estimé Pierre-Alain Porret, du Syndicat des enseignants romands (SER). Selon lui, pour améliorer durablement les conditions, toutes les salles devraient être équipées d'appareils de mesure du CO2 avant la fin de l'année.

>> En lire plus : Les enseignants veulent être mieux protégés dès la rentrée scolaire

La grogne monte parmi certains Suisses et Suissesses de l’étranger, qui ne peuvent parfois se faire vacciner ni dans leur pays de résidence, ni en Suisse, en raison des politiques vaccinales locales mais aussi des contrats conclus avec les entreprises pharmaceutiques, qui interdisent à la Confédération d'utiliser ses vaccins ailleurs que sur territoire helvétique.

Ainsi, dans plusieurs pays, notamment ceux d'Asie du Sud ou d'Amérique latine, ces "expats" n'ont pas accès aux vaccins reconnus par la Confédération et ne peuvent pas revenir se faire vacciner en Suisse, qui applique le principe de territorialité. Ainsi, sans assurance maladie en Suisse, pas de vaccin, peu importe la nationalité. Il s'agit toutefois d'une minorité, la vaccination se passant bien notamment aux Etats-Unis et en Europe.

Cette situation a poussé lundi l'Organisation des Suisses de l'étranger à envoyer une lettre au président Guy Parmelin. Elle demande que les Suisses de l'étranger qui habitent dans un pays où le système sanitaire est faible puissent avoir accès à la vaccination dans leur ambassade.

>> Les explications et l'interview de Laurent Wehrli dans Forum :

Keystone - Gaëtan Bally

>> Plus de détails : Le casse-tête vaccinal de certains Suisses de l'étranger

Swissmedic a approuvé l'extension du vaccin Spikevax de Moderna, destiné à prévenir le Covid-19, pour les adolescents âgés de 12 à 17 ans. L'autorisation temporaire a été accordée sur la base d'une étude menée auprès de 3732 jeunes de cet âge.

Swissmedic a examiné la demande d'extension d'indication déposée le 11 juin dernier à un rythme accéléré, dans le cadre d'une procédure de soumission en continu, indique lundi l'Institut suisse des produits thérapeutiques dans un communiqué.

Réaction immunitaire semblable aux 18-25 ans

Dans le groupe d'âge étudié, et à une même posologie que chez l'adulte, le vaccin de cette étude clinique a montré une réaction immunitaire comparable à celle des jeunes adultes entre 18 et 25 ans. Les effets secondaires sont également semblables à ceux des personnes de 18 ans et plus.

L'efficacité contre la maladie symptomatique (au moins un symptôme et un test PCR positif), évaluée à partir de 14 jours après la deuxième dose, était de 93%. Les effets indésirables ont généralement duré de un à trois jours et peuvent être plus marqués après la deuxième dose.

L'Office fédéral de la santé publique a fait état de 3144 cas supplémentaires de coronavirus en 72 heures. Aucun décès de plus n'a été enregistré et 38 malades ont été hospitalisés.

Durant les dernières 72 heures, les résultats de 57'281 tests ont été transmis. Le taux de positivité s'élève à 5,49%.

Sur les quatorze derniers jours, le nombre total d'infections est de 12'399, soit 143,43 nouvelles infections pour 100'000 habitants. Le taux de reproduction, qui a un délai d'une dizaine de jours, est lui de 1,22. Les patients Covid-19 occupent 6,80% des places disponibles en soins intensifs, dont le taux d'occupation est de 65,20%.

Au total 9'163'662 doses de vaccin ont été administrées et 49,16% des personnes ont déjà reçu deux doses. La Suisse a reçu jusqu'à présent 10'280'775 doses de vaccins. Des certificats ont déjà été émis pour 5'160'024 personnes vaccinées.

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