Serge Dal Busco, candidat au Conseil d'Etat à Genève, sur Twitter:
Le maire de Bernex Serge Vonlanthen sur la Tribune de Genève:
"On se serait cru en état de siège. On voyait des ambulances, des voitures de polices et l’armée arriver de toute part. C’était incroyable de penser que quelques minutes avant, je passais à deux mètres des lieux où les explosions se sont déroulées."
Le coureur fribourgeois Patrick Genoud sur la RTS:
Le témoignage d'une Française établie à Boston:
L'interview de l'homme de 78 ans que l'on voit tomber dans toutes les vidéos:
Un marathonien interrogé par Europe 1:
"C'était comme si tout le monde devenait fou. J'ai cru que c'était un coup de canon au début mais le souffle était si puissant que j'ai cru que ma tête allait exploser. Et puis tout le monde s'est mis à courir dans tous les sens, les gens essayaient de s'occuper des blessés."
Le témoignage de Doug, qui était sur la ligne d'arrivée, sur Twitter:
Billy Lapointe, un Canadien qui accompagnait deux marathoniennes, sur Radio Canada:
"Même les marathoniens qui avaient fini de courir se sont remis à courir. Ils ont trouvé un deuxième souffle pour s'enfuir."
Le marathonien Aziz Djeffa, sur Europe 1:
Liz Norden, mère de deux victimes, sur le site du "Boston Globe":
"Mes deux fils ont perdu chacun une jambe à partir du genou."
Bob O'Donnell, un spectateur qui se trouvait proche de la ligne d'arrivée, sur Radio Canada:
"C'était le chaos. Les autorités voulaient disperser les gens, mais plusieurs ne voulaient pas quitter leurs proches blessés."
Saïd Alili, un marathonien français sur itele:
Gratien Bon, un Français expatrié à Boston, sur France 24:
"J'étais à quelques centaines de mètres où la bombe a explosé. On a immédiatement vu une gigantesque pagaille. Les coureurs étaient totalement désorientés. J'ai vu des passants en larmes chercher leurs proches.
boi
Sur les réseaux sociaux
De nombreux témoignages ont été rapportés par les médias américains et sur internet après le drame.
Sur les réseaux sociaux aussi, anonymes et célébrités ont fait part de leur émotion. Certains ont même proposé leur aide aux coureurs qui ne pourraient pas rentrer chez eux.
Plusieurs hashtags ont été créés par les internautes. Plus que #Boston ou #bostonhelp, c'est surtout #BostonMarathon qui est utilisé.
Des hommages affluent aussi sur #PrayForBoston ("priez pour Boston") et #1MinuteOfSilenceForBoston ("une minute de silence pour Boston").
Des centaines de témoignages venus du monde entier sont publiés chaque minute.
Sur Google, une application permettant de retrouver des proches a été mise en ligne. Elle permet aux proches des participants de signaler qu'ils recherchent quelqu'un.
Des appels à la vigilance ont aussi été lancés, avertissant de la présence de fausses photos, de fausses vidéos et de fausses informations sur les réseaux sociaux.