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détail & partage

Les prétendants UDC pour un deuxième siège au Conseil fédéral

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Plébiscité par l'UDC vaudoise, Guy Parmelin est principal papable au niveau latin. Il avait confirmé son intérêt pour le poste dès le lendemain des élections fédérales. "La chose m'intéresse, le train ne passe qu'une fois et c'est un défi qui pourrait être extrêmement intéressant", avait-il déclaré à la RTS. [Keystone - Peter Klaunzer]

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Thomas Aeschi siège au Conseil national depuis 2011. "Jeune et dynamique", selon sa section cantonale, il serait un "complément idéal" à l'actuel conseiller fédéral UDC Ueli Maurer.

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Le conseiller d'Etat Norman Gobbi (Lega) est proposé par l'UDC tessinoise. Il siégeait dans le groupe UDC lorsqu'il était conseiller national. [Keystone - Lukas Lehmann]

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Après Guy Parmelin, le Valaisan Oskar Freysinger est le deuxième candidat romand au Conseil fédéral. "J'ai proposé ma candidature pour permettre à l'UDC d'avoir la palette de choix la plus large possible", note le conseiller d'Etat valaisan. [Keystone - Olivier Maire]

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Le Grison Heinz Brand fait figure de grand favori dans les rangs de l'UDC. La section grisonne du parti aurait désigné ce conseiller national de 59 ans à une commission de sélection interne du parti, selon la Schweiz am Sonntag. Le président de l'UDC Toni Brunner juge qu'il est un prétendant "fort intéressant". Et d'ajouter qu'il "est accommodant et respecté au-delà du parti". [Peter Schneider]

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Le conseiller d'Etat en charge de l'Instruction publique nidwaldienne Res Schmid a été désigné par sa section cantonale au comité national de sélection de l'UDC. Au gouvernement cantonal depuis 2010, il est également expert en aviation pour le Département fédéral de la défense. En cas d'élection le 9 décembre, il serait le premier représentant de son canton au Conseil fédéral. [Keystone - Urs Flueeler]

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Le conseiller aux Etats Hannes Germann (au premier rang à droite), 59 ans, est au côté de Thomas Hurter, l'un des deux candidats à la candidature UDC présentés par la section schaffhousoise. [KEYSTONE - PETER SCHNEIDER]

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Le conseiller national Thomas Hurter, 52 ans, figure au côté de Hannes Germann comme candidat de l'UDC schaffhousoise pour le ticket au Conseil fédéral. [Keystone - Benedetto Galli]

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Thomas de Courten (ici avec sa colistière de l'UDC de Bâle-Campagne Sandra Sollberger) et économiste. Agé de 49 ans, il est conseiller national depuis 2011 et à été le mieux élu du camp bourgeois de son demi-canton le 18 octobre. [Keystone - Martin Toengi]

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David Weiss, juge au Tribunal administratif fédéral, est soutenu par la section UDC de Bâle-Campagne, même si celle-ci ne l'a pas officiellement nommé. [SRF]

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L'Argovien Hansjörg Knecht, régulièrement cité parmi les papables, a renoncé à se lancer dans la course. Ce conseiller national de 55 ans a affirmé vouloir rester entrepreneur. [Keystone - Anthony Anex]

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Le patron de Stadler Rail Group Peter Spuhler, conseiller national thurgovien de 56 ans, est régulièrement cité parmi les papables. La cote de l'entrepreneur à succès dont la fortune personnelle est estimée à près de 2 milliards de francs par le magazine américain Forbes a été confirmée par un sondage de 20 Minuten à l'échelle nationale où il est le favori à la succession d'Eveline Widmer-Schlumpf. Problème: il n'est personnellement pas chaud pour se lancer. [Keystone - Walter Bieri]

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Le président de l'UDC Toni Brunner ne se dit pas candidat. Pourtant, Christoph Blocher a plusieurs fois déclaré que le Saint-Gallois était un prétendant "idéal" au Conseil fédéral. "Je l'ai vu pendant huit années, il est très intelligent, très clair. En plus, il a très bon caractère ce qui est important pour un politicien", a précisé l'ex-conseiller fédéral. [Lukas Lehmann]