La vie quotidienne au camp de Mai-Aini, en Ethiopie
Les réfugiés érythréens sont réfugiés dans quatre camps gérés par le Haut Commissariat aux réfugiés (HCR) dans le nord de l'Ethiopie. Reportage à Mai-Aini, par Yves Magat.
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Le camp de Mai-Aini héberge plus de 10'000 réfugiés dont une majorité d'hommes (61%) et de moins de 25 ans (75%).
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Dans le camp de Mai-Aini, les lieux sont ouverts à tous avec des rues en terre battues et des maisons plutôt bien construites. [RTS - Yves Magat]
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Un point d'eau où les réfugiés viennent se ravitailler avec de gros bidons. [RTS - Yves Magat]
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Les marchands de fruits et légumes s'affairent devant leur boutique. [RTS - Yves Magat]
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Si l'opulence n'est pas de mise, une activité commerciale s'est développée au sein du camp, ici un magasin de vêtements. [RTS - Yves Magat]
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Pour attirer les clients, le Kanazegelila, décoré de peintures religieuses avec sa sono de musique érythréenne, propose sa spécialité: des spaghettis à la sauce tomate piquante, un reliquat de l'occupation italienne. [RTS - Yves Magat]
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De nombreux réfugiés s'imaginent partir pour l'Europe. Mais beaucoup ne franchiront jamais le pas. [RTS - Yves Magat]
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Dans les quatre écoles de Mai-Aini, les enfants de réfugiés érythréens sont mélangés avec ceux des villages voisins. Ils partagent une langue commune: le tigrinya. [RTS - Yves Magat]
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Les élèves suivent avec attention un cours de maths.
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Pour se divertir, les jeunes jouent au foot sur les plateaux arides où ils ont trouvé refuge. [RTS - Yves Magat]
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Des images équivoques réalisées lors d'un atelier de peinture organisé pour les jeunes du camp avec l'aide financière d'ONG. [RTS - Yves Magat]
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Des ateliers de musique sont organisés pour permettre aux jeunes d'échapper à l'oisiveté. [RTS - Yves Magat]