Cette 49e édition, qui s'est achevée ce dimanche, a dû relever "des défis logistiques sans précédent", rappellent les organisateurs dans leur communiqué de clôture, remerciant au passage les 400 membres du staff.
Ils reconnaissent qu'il a été "parfois complexe" d'appliquer les mesures sanitaires. Et notamment l'obligation de présenter un certificat Covid pour entrer dans le quartier de la Cité, le principal site du festival qui s'est aussi déployé cette année au verger de l'Hermitage, à la clairière de Tridel et à Sauvabelin.
Pour ne rien arranger, la pluie a joué les trouble-fête, entraînant même l'annulation de spectacles. Reste que la météo n'a "pas freiné l'élan et l'engouement général", ni "l'intense plaisir à reconnecter l'art, les artistes et le public", affirment les organisateurs.
Satisfactions artistiques
Ils ont retenu de nombreux coups de coeur et notamment, côté musique, les concerts du Français Johan Papaconstantino, des Turcs de Lalalar, du collectif de Kinshasa Fulu Miziki, de /A\ ou encore du Lausannois Arma Jackson.
Parmi les nouveautés, les Echos de la Cité, une émission quotidienne en direct sur La Télé, a rencontré son public. De même que les Escapades, des concerts et spectacles à découvrir dans plusieurs lieux, ou le Paralax Cantine, un projet mêlant art et gastronomie.
"Autant de bonnes pistes à suivre pour les prochaines éditions", indiquent les organisateurs, qui donnent d'ores et déjà rendez-vous du 5 au 10 juillet 2022 pour le 50e anniversaire du festival.
ats/olhor