L’écrivain Joël Dicker évoque le souvenir de ses grands parents "qui cassaient des cailloux" dans des camps de réfugiés en Suisse, où ils ont été accueillis en 1942, pour estimer que la Suisse et l’Occident devraient accueillir les migrants actuels.
"Mes grands parents juifs avaient fui en 1942", rappelle Joël Dicker au micro de la RTS, se disant solidaire des réfugiés actuels.
"On ne peut pas voir les gens se noyer en Méditerranée et dire: on ira se baigner dans cette mer-là pour les prochaines vacances", ajoute l'écrivain genevois.
Il faut un accueil plus large, affirme-t-il encore, estimant qu’en l’état, l’Occident fait preuve "d’égoïsme".
mac
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