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Quelques oeuvres exposées au Kunsthaus de Zurich dans l'exposition "Fashion Drive. Vêtements extrêmes dans l'art"

Photos reçues pour article RTS Culture sur l'exposition "Fashion Drive. Vêtements extrêmes dans l'art".
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Dans un manifeste pour le vêtement masculin futuriste, Filippo Marinetti et Giacomo Balla plaident en 1914 pour l'abolition de la mode sombre, symétrique et étriquée, afin d'opposer une autre vision à la triste apparence des foules. [Kunsthaus de Zurich]

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Baldessari John, "Double Bill... and Manet", 2012. [Kunsthaus de Zurich - John Baldessari]

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Elisabeth Louise Vigée-Lebrun, Marie-Antoinette en Chemise, 1783. Marie-Antoinette porte ici un simple chemisier en coton transparent qui évoque la mode de l'idéalisation de la vie rurale, paysanne et pastorale. [Kunsthaus de Zurich]

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Dans son oeuvre "Chesterfield" en 2014, l'artiste viennoise Jakob Lena Knebl interroge le caractère normatif de vêtements qui mettent en jeu des attentes en matière de genre, d'âge, d'origine et de silhouette. [Kunsthaus de Zurich]

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Cette armure à jupe plissée en fer ciselé et poli a été confectionnée par un maître armurier d'Allemagne du Nord d'après un modèle d'Innsbruck pour Albert de Brandebourg (1490-1545), grand maître de l'Ordre teutonique. [Kunsthaus de Zurich]

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La Révolution française et la Déclaration des Droits de l'Homme amènent aussi le droit à la liberté d'habillement. Après la Terreur jacobine, les aristocrates réfugiés à Coblence rentrent à Paris. Ils cultivent un style vestimentaire extravagant. [Kunsthaus de Zurich]

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William Larkin, portrait de Diana Cecil, future comtesse d’Oxford, vers 1614−1618. [Kunsthaus Zurich - Iveagh Bequest (Kenwood, London)]

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Michelangelo Pistoletto, Metamorfosi, 1976–2017. Ce travail met en évidence notre gestion des vêtements. [Kunsthaus de Zurich]