Depuis des années, les deux rentrées littéraires – automne/printemps – ou les Salons du Livre sont perçus comme des vagues déferlantes de nouveautés, de promotions éditoriales, de littérature-spectacle où écrivains, libraires, lecteurs et critiques se noient.
Les écrivains doivent désormais assumer un nouveau rôle: promoteurs de leur livre sur une scène médiatique déjà formatée sans eux.
Par Gérald Hiestand et Christian Ciocca.