"Les résultats des études toxicologiques - déjà communiqués à sa famille - ont révélé que, dans les moments précédant sa mort et pendant au moins ses dernières 72 heures, Payne présentait dans son organisme une polyconsommation d'alcool, de cocaïne et d'antidépresseurs", a détaillé le parquet argentin, précisant que trois personnes ont été inculpées pour vente de stupéfiants et abandon de personne vulnérable.
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Sans préciser les noms des personnes impliquées, le parquet a précisé que celle qui accompagnait quotidiennement Liam Payne durant son séjour à Buenos Aires est inculpée pour "abandon de personne suivi de mort", un délit puni de 5 à 15 ans de prison, et de fourniture de stupéfiants.
Un employé de l'hôtel "doit répondre d'avoir fourni à deux reprises de la cocaïne à Liam Payne pendant son séjour", et une troisième personne est "inculpée pour avoir fourni à deux reprises des stupéfiants à deux moments différents le 14 octobre".
Semi-inconscient ou inconscient au moment de sa chute
Le parquet a également confirmé les premiers résultats de l'autopsie suggérant que les blessures sur le corps de la victime étaient compatibles avec celles d'une chute et qu'ainsi une automutilation ou "l'intervention physique de tiers" étaient exclues.
L'autopsie avait révélé qu'aucune blessure de type 'défensif' n'avait été trouvée sur les mains de Payne et que toutes les blessures étaient vitales et produites simultanément les unes avec les autres. Autrement dit, de par ces blessures et la position du corps sur le sol, l'autopsie estimait que le chanteur "n'avait pas adopté de posture réflexe pour se protéger [dans sa chute] et qu'il est peut-être tombé dans un état de semi-inconscience ou d'inconscience totale".
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ats/vic