Une semaine durant, la manifestation a dévoilé une centaine de projets artistiques, soit environ 60 concerts et 40 spectacles d'arts vivants. Le festival s'est décliné dans près de vingt lieux de la capitale vaudoise.
Dans leur communiqué de clôture, les organisateurs estiment que cette 50e édition s'est avérée "exemplaire" dans la volonté d'ouverture du festival, entre "audace artistique" et exploration "des relations possibles" avec tous les types de public.
Parmi les nouveautés de cette année, ils se réjouissent par exemple du succès de la nouvelle scène du Bal de la Mercerie, dédiée à la danse. Ils citent, entre autres, la soirée "afro house" qui a vu Idilsa Tavares partager son style avec une centaine d'apprentis danseurs.
La collaboration s'est aussi avérée "fertile" avec le pôle muséal de Plateforme 10, à côté de la gare. Le site, fraîchement inauguré, a été "un écrin idéal" pour accueillir les spectacles, notamment celui de la danseuse Amanda Piña.
La dernière de Myriam Kridi
Les festivaliers ont aussi été nombreux à découvrir "Forêt", une déambulation dans les bois de Sauvabelin. "Ces succès soulignent l'intérêt croissant pour les projets hors les murs", poursuit le communiqué.
Le Festival a encore été marqué par la nouvelle scène de la place du Château, signée par l'artiste scénographe Joseph Wouters. Elle a accueilli treize projets dont deux concerts pour onze représentations.
Cette 50e édition a été la dernière sous la direction de Myriam Kridi, qui était en poste depuis sept ans. Elle sera remplacée, dès le 1er septembre, par Martine Chalverat.
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ats/jfe