Première incursion sur les planches du sorcier aux lunettes rondes, la pièce, très attendue, a démarré à 14h00 au Palace Theatre, dans le West End, le quartier des théâtres londoniens.
Quelque 200 personnes étaient massées avant le début du spectacle devant l'édifice, protégé par de hautes barrières, pour assister à l'arrivée des célébrités sur le tapis rouge, dont la romancière J.K.Rowling, créatrice de la saga Harry Potter, et le maire de Londres Sadiq Khan.
19 ans après
Le texte de la pièce sera mis en vente dès samedi à minuit au Royaume-Uni, dimanche aux Etats-Unis et en France le 14 octobre.
Divisé en deux représentations d'environ 2h30 chacune, le spectacle se déroule dix-neuf ans après les événements relatés dans "Harry Potter et les Reliques de la Mort", septième et dernier livre de la saga forgée par la romancière britannique J. K.Rowling, paru en 2007.
afp/vtom
Menace grandissante...
Si les lecteurs étaient restés sur un adolescent tourmenté par son passé et son combat contre le redoutable Lord Voldemort, alias Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom, ils découvriront dans cette pièce, co-écrite par J. K. Rowling avec le dramaturge Jack Thorne et le metteur en scène John Tiffany, un Harry Potter marié et père de famille.
Employé au ministère de la Magie, le héros, interprété par le comédien Jamie Parker, doit faire face à une menace grandissante, et la situation n'est guère plus simple à la maison, où son plus jeune fils, Albus Severus (Sam Clemmett), a du mal a gérer le lourd héritage familial des Potter...