Le cabinet de sécurité israélien se prononcera mardi sur un accord de cessez-le-feu au Liban
- Le cabinet de sécurité israélien "se prononcera mardi soir" sur un accord de cessez-le-feu au Liban, a indiqué un responsable israélien lundi à l'AFP.
- Lundi matin, de nouvelles frappes ont visé la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah libanais. Le porte-parole arabophone de l'armée israélienne avait prévenu sur X que des sites du Hezbollah pro-iranien allaient être visés.
- Le conflit au Moyen-Orient sera abordé lundi lors d'une réunion près de Rome des ministres des Affaires étrangères du G7. Leurs homologues régionaux y seront présents.
- Le Liban a annoncé dimanche la suspension des cours à Beyrouth et dans ses environs à partir de lundi et jusqu'à la fin décembre, invoquant des raisons de "sécurité" après la série de frappes israéliennes sur la capitale la semaine dernière.
Suivi assuré par RTSinfo
21h45
Au moins 31 morts dans les frappes israéliennes lundi
Au moins 31 personnes ont été tuées dans les "frappes de l'ennemi israélien" lundi sur différentes régions du Liban, principalement des fiefs du Hezbollah, a indiqué le ministère de la Santé.
Dans un communiqué, le ministère a précisé que la plupart des morts avaient été recensés dans le sud du Liban.
21h15
Inquiétude de la Finul après les attaques contre l'armée libanaise
La Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul) a exprimé lundi sa "profonde inquiétude" à la suite des attaques meurtrières contre l'armée libanaise dans le sud du pays imputées à Israël au cours des récentes semaines.
Selon l'armée libanaise, 45 militaires ont été tués depuis le début des violences il y a plus d'un an, dont 19 dans l'exercice de leurs fonctions depuis le début des violences.
Dimanche, un soldat libanais avait été tué et 18 autres blessés, dont certains grièvement, dans une attaque israélienne contre leur position à al-Amiriyeh, dans le sud du Liban, selon un communiqué de l'armée.
21h00
Raids israéliens sur des ponts en Syrie, près du Liban
Des raids aériens israéliens ont ciblé lundi plusieurs ponts dans la région de Qousseir en Syrie, près de la frontière libanaise, a indiqué la télévision d'Etat syrienne. .
L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH) a indiqué à l'AFP que les "frappes israéliennes" avaient visé un poste-frontière officiel dans la région de Qousseir et six ponts sur le fleuve Oronte, près de la frontière libanaise.
Le Hezbollah libanais, qui soutient le président syrien Bachar el-Assad, est implanté dans cette région.
19h35
A Gaza, les armes explosives menaceront longtemps les civils
Les armes explosives utilisées dans une zone aussi densément peuplée que la bande de Gaza continueront à faire courir des risques aux civils même quand la paix y sera revenue, alerte une ONG danoise dans un rapport publié lundi.
"Ces vestiges de la guerre, qui n'explosent pas immédiatement, ou qui peuvent avoir été abandonnés au cours des combats, constituent une menace à long terme pour les civils, causant souvent des blessures et des décès longtemps après la fin des combats", écrit Corinne Linnecar du Danish Refugee Council (DRC).
L'ONG, présente dans la bande de Gaza, estime au terme d'une enquête de plusieurs semaines que des munitions explosives, explosées ou non, sont présentes dans de très nombreuses zones habitées du territoire palestinien.
18h10
Le cabinet de sécurité israélien se prononcera mardi sur un accord de cessez-le-feu
Le cabinet de sécurité israélien doit se prononcer mardi sur un accord de cessez-le-feu dans la guerre contre le Hezbollah libanais, a indiqué lundi un responsable, les Etats-Unis affirmant qu'un tel accord était "proche".
"On avance sur ce front", avait déclaré un peu plus tôt à New York l'ambassadeur d'Israël aux Nations unies, Danny Danon, qui faisait quant à lui état d'une telle réunion "aujourd'hui ou demain".
Ces annonces ont été faites après une intensification ces derniers jours des frappes meurtrières d'Israël contre des fiefs du mouvement pro-iranien au Liban, alors que les acteurs internationaux redoublaient d'efforts en vue d'un cessez-le-feu.
Le chef de la diplomatie italienne Antonio Tajani, qui préside une réunion des ministres des Affaires étrangères du G7 près de Rome, s'est dit lundi "optimiste" sur un cessez-le-feu au Liban. Paris appelle Israël et le Hezbollah à se saisir "au plus vite de cette opportunité"
"Nous pensons être arrivés au point où nous sommes proches" d'un accord, a déclaré John Kirby, le porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, tout en soulignant que rien n'était encore acquis.
Selon le site d'information américain Axios, l'accord est basé sur un projet américain prévoyant une trêve de 60 jours durant laquelle le Hezbollah et l'armée israélienne se retireraient du sud du Liban, frontalier du nord d'Israël, pour laisser l'armée libanaise s'y déployer.
16h40
L'ONU appelle les parties à "accepter un cessez-le-feu"
Un haut responsable de l'ONU a appelé lundi les parties au conflit au Liban à "accepter un cessez-le-feu", alors que les hostilités se poursuivent entre l'armée israélienne et le Hezbollah libanais.
"Les opérations militaires israéliennes ont continué à travers la Ligne bleue", ligne de démarcation fixée par l'ONU entre le Liban et Israël, "ainsi que les tirs de roquettes du Hezbollah vers Israël", a déploré devant le Conseil de sécurité Muhannad Hadi, adjoint de l'émissaire de l'ONU pour le Proche-Orient Tor Wennesland.
"Je salue les efforts diplomatiques en cours pour parvenir à une cessation des hostilités et j'appelle les parties à accepter un cessez-le-feu ancré dans la complète application de la résolution 1701" du Conseil de sécurité de 2006, a-t-il ajouté, précisant s'exprimer au nom de son chef, indisponible pour la réunion.
La résolution 1701 actait la fin de la guerre de 2006 entre Israël et le Hezbollah. Elle stipule que seules les forces de maintien de la paix de l'ONU et l'armée libanaise peuvent être déployées dans le sud du Liban. Mais le Hezbollah a maintenu une présence dans cette région et Israël y mène depuis le 30 septembre des opérations terrestres contre le mouvement pro-iranien.
16h10
Israël dit avoir frappé environ 25 cibles liées au Hezbollah en une heure
L'armée israélienne a dit lundi avoir frappé en une heure environ 25 cibles liées au mouvement islamiste Hezbollah dans les environs de Beyrouth et plusieurs autres endroits au Liban.
"Parmi les cibles frappées figuraient des centres de commandement du Conseil exécutif (du mouvement, ndlr), ainsi que des centres de collecte et de contrôle du renseignement, où se trouvaient des commandants et des agents du Hezbollah", a indiqué l'armée dans un communiqué, mentionnant des frappes à Nabatiyeh, Baalbeck, la plain de la Békaa et la banlieue sud de Beyrouth, notamment.
16h05
Le pape dénonce "l'arrogance de l'envahisseur" en "Palestine"
Le pape François a dénoncé lundi au Vatican "l'arrogance de l'envahisseur" en "Palestine", une rare prise de position contre la politique israélienne, une semaine après avoir évoqué pour la première fois les accusations de "génocide" à Gaza.
S'exprimant en espagnol lors d'un discours au palais apostolique à l'occasion du 40e anniversaire du traité de paix entre le Chili et l'Argentine, le pape de bientôt 88 ans a évoqué "les nombreux conflits armés en cours" et les "déchirures très douloureuses" qu'ils charrient.
Fustigeant une nouvelle fois le commerce des armes, Jorge Bergoglio a critiqué "l'hypocrisie de parler de la paix tout en jouant à la guerre". "Le dialogue doit être l'âme de la communauté internationale", a-t-il plaidé devant des diplomates et des représentants religieux.
Fin septembre, le jésuite argentin avait déjà dénoncé un usage "immoral" de la force au Liban et à Gaza, semblant appeler Israël à la retenue. Mais c'est la première fois que le chef de l'Eglise catholique dénonce publiquement en ces termes la politique israélienne vis-à-vis des territoires palestiniens.
15h15
Douze morts dans des frappes israéliennes sur la région de Tyr au Liban
Douze personnes ont été tuées lundi, et huit blessées, dans des frappes israéliennes dans deux secteurs du district de Tyr, dans le sud du Liban, a annoncé le ministère libanais de la Santé.
Dans des communiqués distincts, le ministère a rapporté "six morts" et fait état de "restes humains" nécessitant une identification, ainsi que de quatre blessés dans une frappe sur une route près de la ville de Tyr. Un autre raid dans la localité de Maaraka a fait "six morts et quatre blessés", dont un en sois intensifs.
15h00
Le mandats d'arrêt de la CPI contre Netanyahu remet en lumière l'étrange loi américaine "d'invasion de La Haye"
Il est de notoriété publique que les Etats-Unis n'ont jamais adhéré au jeu de la justice internationale. Tout comme la Chine, l'Inde ou la Russie, ils n'ont jamais ratifié le Statut de Rome de la Cour pénale internationale (CPI).
Mais ce que l'on sait moins, c'est qu'ils disposent d'une loi autorisant, en théorie, le recours à la force pour contrer cette institution si un citoyen américain ou un allié venait à être poursuivi. Il s'agit de l'American Service-Members' Protection Act (ASPA), surnommée officieusement "loi d'invasion de La Haye".
Adoptée en 2002, cette loi permet aux Etats-Unis d'utiliser "tous les moyens nécessaires et appropriés" pour libérer un ressortissant ou un allié détenu par la CPI, basée à La Haye, aux Pays-Bas. Cela pourrait inclure un militaire, un fonctionnaire ou même le dirigeant d'un pays allié comme Israël.
Ce scénario, s'il paraît absurde, est pourtant juridiquement possible. Et avec les récents mandats d’arrêt internationaux émis contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ancien ministre de la Défense Yoav Gallant pour des crimes de guerre présumés dans les territoires palestiniens, la question redevient d'actualité.
Pour le guide suprême iranien, un mandat d'arrêt de la CPI contre Netanyahu est "insuffisant"
Le guide suprême iranien, Ali Khamenei, a jugé lundi "insuffisant" le mandat d'arrêt lancé par la Cour pénale internationale à l'encontre de Benjamin Netanyahu, et estimé que le Premier ministre israélien méritait une "condamnation à mort".
La Cour, CPI, a émis jeudi des mandats d'arrêt contre Benjamin Netanyahu, son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant et le chef de la branche armée du Hamas, Mohammed Deif, pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité.
Le mandat d'arrêt contre le Premier ministre israélien "est insuffisant", a affirmé lundi dans un discours à Téhéran l'ayatollah Khamenei, dans sa première prise de parole à ce sujet.
"Une condamnation à mort doit être prononcée pour ces dirigeants criminels", a ajouté le dirigeant iranien, en référence aux deux ministres israéliens.
"Ces idiots ne doivent pas penser qu'en bombardant maisons, hôpitaux et rassemblements, ils sont victorieux", a asséné Ali Khamenei, en référence aux Israéliens.
13h45
La frappe israélienne qui a tué 3 journalistes au Liban est un "crime de guerre apparent"
Human Rights Watch a qualifié de "crime de guerre apparent" la frappe israélienne ayant tué trois journalistes au Liban le mois dernier, ajoutant qu'une bombe équipée d'un kit de guidage de fabrication américaine avait été utilisée.
La frappe, survenue le 25 octobre, a visé un complexe touristique à Hasbaya, dans le sud du Liban, où séjournaient une douzaine de journalistes travaillant pour des médias libanais et arabes.
L'armée israélienne a indiqué que l'attaque visait des combattants du Hezbollah et qu'elle était "en cours d'examen". HRW estime qu'elle constitue "très vraisemblablement une attaque délibérée contre des civils, et donc un crime de guerre apparent".
Selon l'ONG, "l'armée israélienne savait ou aurait dû savoir que des journalistes séjournaient dans la zone, et plus particulièrement dans le bâtiment ciblé". "HRW n'a trouvé aucune preuve de combats, ni de présence de forces militaires ou d'activité militaire dans cette zone au moment de l'attaque", a-t-elle ajouté dans un communiqué.
La frappe a tué un caméraman et un ingénieur de radiodiffusion de la chaîne pro-iranienne Al Mayadeen, ainsi qu'un vidéojournaliste de la chaîne du Hezbollah, Al-Manar.
13h15
Le Hamas annonce un nouveau bilan de 44'235 morts
Le Hamas a annoncé un nouveau bilan de 44'235 morts dans le territoire palestinien depuis le début de la guerre avec Israël il y a plus d'un an.
Au moins 24 personnes ont été tuées ces dernières 24 heures, a-t-il indiqué dans un communiqué, ajoutant que 104'638 personnes avaient été blessées dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre, déclenchée par une attaque sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.
12h50
Un ministre israélien estime qu'un cessez-le-feu au Liban serait "une grosse erreur"
Un allié d'extrême droite du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a jugé qu'un accord de cessez-le-feu au Liban, actuellement en cours de discussion, serait "une grosse erreur".
Un accord avec le Liban serait "une grosse erreur" et "une occasion historique manquée d'éradiquer le Hezbollah", a estimé Itamar Ben Gvir, ministre de la Sécurité nationale, sur X.
"Comme je l'avais déjà prévenu à Gaza, je préviens maintenant également: Monsieur le Premier ministre, il n'est pas trop tard pour mettre un terme à cet accord. Il faut continuer jusqu'à la victoire absolue", a martelé le ministre.
11h20
Deux jeunes Palestiniens tués dans un raid de l'armée israélienne en Cisjordanie dimanche soir
L'Autorité palestinienne a indiqué que deux Palestiniens, un adolescent de 13 ans et un jeune de 20 ans, ont été tués dimanche soir dans le nord de la Cisjordanie occupée lors d'un raid de l'armée israélienne, qui dit avoir répliqué à des tirs palestiniens.
Les forces israéliennes sont entrées dans le village de Ya'bad, au sud-ouest de Jénine, et des affrontements ont éclaté au cours desquels des soldats israéliens ont tiré à balles réelles, selon l'agence officielle palestinienne Wafa.
"Au cours d'une (opération) antiterroriste dans la zone de Ya'bad, deux terroristes ont lancé des explosifs sur des soldats. Les soldats ont répondu par des tirs qui ont touché leurs cibles", a de son côté indiqué une source militaire israélienne.
11h00
Israël dit que sa frappe de samedi a visé un centre de commandement du Hezbollah
L'armée israélienne a affirmé lundi avoir visé un "centre de commandement" du mouvement islamiste libanais Hezbollah lors d'une frappe samedi dans le centre de Beyrouth, qui a fait au moins 29 morts selon les autorités libanaises.
"L'armée israélienne a frappé un centre de commandement du Hezbollah", a affirmé l'armée, alors que des déclarations contradictoires au Liban évoquaient un haut responsable du Hezbollah comme cible de cette frappe.
La frappe, qui s'est produite avant l'aube samedi, a détruit un immeuble résidentiel dans le quartier populaire de Basta, en plein cœur de Beyrouth, laissant un énorme cratère selon des journalistes de l'AFP.
Elle a tué "29 personnes et en a blessé 67 autres", selon un bilan actualisé mais non définitif fourni par le ministère libanais de la Santé dimanche, alors que les recherches dans les décombres étaient toujours en cours.
10h30
Les réponses de ChatGPT sur les conflits diffèrent en fonction de la langue
ChatGPT indique en arabe un nombre de victimes du conflit au Proche-Orient en moyenne un tiers plus élevé qu'en hébreu. Concernant les attaques aériennes israéliennes à Gaza, le chatbot mentionne deux fois plus de victimes civiles et six fois plus d'enfants tués.
En arabe et en hébreu, ils ont demandé combien de victimes avaient été recensées lors de 50 attaques aériennes choisies au hasard, comme l'attaque aérienne israélienne sur le camp de réfugiés de Nuseirat.
D'une manière générale, ChatGPT indique un nombre plus élevé de victimes lorsque les recherches sont effectuées dans la langue du groupe attaqué. ChatGPT a en outre tendance à rapporter davantage d'enfants et de femmes tués dans la langue du groupe attaqué et à décrire les attaques aériennes comme étant plutôt aveugles et arbitraires.
De nouvelles frappes sur la banlieue sud de Beyrouth
De nouvelles frappes ont visé lundi matin la banlieue sud de Beyrouth, bastion du Hezbollah libanais, après un ordre d'évacuation de l'armée israélienne de quartiers de ce secteur déjà violemment pilonné dimanche soir.
"L'aviation israélienne a mené trois frappes sur les environs de Haret Hreik", un quartier de la banlieue sud, a indiqué l'Agence nationale d'information (ANI, officielle).
Le porte-parole arabophone de l'armée israélienne Avichay Adraee avait prévenu sur la plateforme X que trois immeubles de Haret Hreik allaient être visés, appelant les habitants à évacuer.
L'armée israélienne a par la suite affirmé avoir frappé "plusieurs centres de commandement du Hezbollah" dans la banlieue.
07h30
En visite dimanche, l'Européen Josep Borell a appelé à un cessez-le-feu
Le chef de la diplomatie européenne Josep Borell, en visite à Beyrouth, a appelé dimanche à un "cessez-le-feu immédiat" entre Israël et le Hezbollah au Liban.
"Nous ne voyons qu'une seule voie possible: un cessez-le-feu immédiat et l'application intégrale de la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies", ayant mis fin, en 2006, à la précédente guerre entre Israël et le mouvement libanais, a déclaré Josep Borell à l'issue d'une rencontre avec le président du Parlement libanais, Nabih Berri.
06h00
Le Moyen-Orient au menu d'une réunion du G7
Les ministres des Affaires étrangères du G7 se réunissent lundi près de Rome pour deux jours de pourparlers axés sur les guerres en cours dans le monde: le conflit au Moyen-Orient sera abordé lundi, en présence de leurs homologues régionaux, et la guerre en Ukraine, mardi.
00h15
Suspension des cours lundi dans les écoles et universités à Beyrouth et environs
Le Liban a annoncé dimanche la suspension des cours lundi à Beyrouth et dans ses environs. Le pays a invoqué des raisons de "sécurité" après une série de frappes israéliennes meurtrières sur la capitale en une semaine.
Le ministre de l'Education, Abbas Halabi, a indiqué que "l'enseignement en présentiel" serait suspendu dans les écoles, instituts techniques et établissements d'enseignement supérieur privés à Beyrouth et dans les districts voisins de Metn, Baabda et Chouf. Cette mesure, prise en raison des "conditions dangereuses actuelles" et pour "garantir la sécurité des élèves", sera effective dès lundi et des cours en lignes seront proposés jusqu'à fin décembre.