GE a présenté aux instances représentatives du personnel "des projets d'évolution de l'organisation de ses activités gaz et de ses fonctions support", qui "pourraient entraîner un maximum de 1044 réductions de postes, essentiellement sur les sites de Belfort, Bourogne et Boulogne-Billancourt", a indiqué le groupe.
"C'est plus de la moitié des salariés de l'activité gaz (...) qui vont perdre leur emploi avec cette annonce", avaient souligné plus tôt dans un communiqué des élus locaux.
Belfort très touché
Au total, General Electric emploie près de 4000 personnes à Belfort, dont 1900 dans l'entité turbines à gaz concernée par l'annonce.
Début mai, Emmanuel Macron avait assuré dans un courrier aux élus locaux que le dossier GE Belfort faisait l'objet de "la plus grande vigilance de la part de l'Etat".
ats/afp/lan