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Le WEF de Davos se tiendra sans la Libye

Pour Klaus Schwab, le WEF se doit d'améliorer l'état du monde.
Pour Klaus Schwab, le WEF se doit d'améliorer l'état du monde.
La coopération internationale sera au centre des préoccupations des 2500 participants du 40e Forum économique mondial (WEF), auquel la Libye n'a pas été conviée. Pour le président et fondateur du WEF, Klaus Schwab, il faut "reconstruire nos institutions".

"La coopération internationale entre tous les participants
s'inscrit au coeur de la mission du Forum qui est d'améliorer
l'état du monde", a lancé Klaus Schwab mercredi à Cologny lors de
la présentation à la presse de l'édition 2010 du WEF qui s'ouvrira
à Davos le 27 janvier.

Copenhague au menu

"Les effets de Copenhague seront aussi abordés", a-t-il précisé.
"Nous devons aborder la Réunion annuelle en tenant compte des
événements mondiaux... Force est de constater les
dysfonctionnements du système actuel de la coopération
internationale", a constaté Klaus Schwab.



"Cinquante-cinq pays et leurs représentants seront présents" dans
la station grisonne, a pour sa part annoncé le directeur du Forum
André Schneider. Et ce dernier de dérouler la liste des chefs
d'Etat et de gouvernement des cinq continents qui convergeront à
Davos. A noter que la Libye ne sera pas présente (lire
ci-contre
).



Les alternatives pour une croissance, le nouveau rôle des
Etats-Unis et de la Chine, l'avenir du Brésil comme force
économique seront quelques uns des grands enjeux qui seront abordés
lors de cette édition, a ajouté le directeur du Forum.



ats/hof

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Il ne devrait pas y avoir de représentant libyen

Aucun représentant libyen ne devrait participer au Forum de Davos.

Aussi longtemps que les relations entre la Suisse et la Libye ne seront pas rétablies, "nous ne comptons pas sur une participation libyenne à Davos" a réitéré Klaus Schwab, rappelant la position inchangée du WEF sur cette question.

Le fondateur et président du WEF a par ailleurs répété qu'il tente toujours de faire venir des invités du monde entier.

"Comme nous l'avions fait par le passé, nous aurions invité des représentants libyens" mais le contexte actuel ne le permet pas, a-t-il justifié.