L'arrêt brutal des ventes pendant le confinement et la timide reprise dans l'horlogerie ont motivé la décision de redimensionner les capacités de production au terme d'une période de chômage partiel.
"L’épidémie de coronavirus et ses répercussions économiques, qui risquent de s’échelonner sur plusieurs années, ont heurté l’industrie horlogère dans son ensemble et nous imposent de faire évoluer notre organisation", explique Patrick Pruniaux, directeur général des deux marques cité dans le communiqué. "La pérennité des marques est ainsi garantie et nous allons de l'avant", assure-t-il.
Le rapprochement il y a un an avait coïncidé avec un investissement "majeur" dans les outils de production, précise le texte.
Aucune précision sur les licenciements
Aucune précision quant au sort des personnes licenciées n’est connue à ce jour. Le personnel, réuni lors d’une séance d’information lundi matin, sera consulté selon les dispositions conventionnelles en vigueur, selon une porte-parole de l’entreprise cité par Arcinfo.
Un éventuel plan social devrait être connu d’ici fin septembre.
ats/kkub