La Commission a estimé que la fusion ne "réduirait pas de façon significative la concurrence sur les marchés où leurs activités se chevauchent au sein de l'EEE", c'est-à-dire dans les domaines de la gestion de patrimoine, la gestion d'actifs et la banque d'investissement.
Le régulateur européen signale que la banque "continuera de faire face à une pression concurrentielle significative de la part d'un large éventail de concurrents sur tous ces marchés".
UBS avait dit s'attendre à finaliser la transaction avant la fin du deuxième trimestre. Il lui manque l'autorisation du régulateur américain, auprès duquel l'établissement a déposé un dossier il y a une semaine.
Selon UBS, le groupe fusionné représentait au 31 décembre des actifs pour plus de 1500 milliards de francs.
ats/ami