Plus de 820'000 personnes envisagent de changer d'emploi en raison du stress et des contraintes psychiques au travail, contre 650'000 en 2022. Plus d'un travailleur sur trois indique être souvent ou très souvent trop épuisé pour s'occuper de ses affaires privées, une proportion record déjà en hausse ces dernières années.
Par contre, grâce au faible taux de chômage et à la pénurie marquée de main-d'oeuvre, les travailleurs considèrent leurs chances de trouver un nouvel emploi comme très bonnes.
Il ressort en outre de ce sondage représentatif réalisé depuis 2015 auprès de 1500 personnes âgées de 16 à 64 ans que les employeurs n'investissent pas assez dans la formation. De plus, une proportion croissante d'employés estime que l'égalité salariale n'est pas respectée dans leur entreprise.
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ats/cab