"Ces mesures, envisagées de longue date, visent à gagner en efficacité. Elles ne sont pas le résultat de récentes informations des médias" (les révélations SwissLeaks), a déclaré le chef des communications de HSBC Suisse, Michael Spiess, confirmant une information de La Tribune de Genève et de L'Agefi.
Il ne s'agit pas d'une étape vers la vente de la filiale de la grande banque britannique ou le départ de HSBC de la Suisse, a-t-il ajouté.
Personnel informé
Le personnel a été informé mardi et une procédure de consultation a été organisée jusqu'à la mi-mai. L'essentiel des postes devrait être supprimé en 2016, si possible par des départs à la retraite et le non-remplacement du personnel.
Ces dernières années, HSBC Suisse a entrepris une diminution du nombre de marchés couverts et s'est concentrée sur des clients possédant au moins 5 millions de dollars. La masse sous gestion a ainsi diminué de quelque 70% depuis 2007 passant de près de 120 milliards à 68 milliards de dollars.
ats/jvia