Le numéro un mondial de l'horlogerie n'adoptera pas les mesures de ses concurrents pour répondre à la force du franc. "Comme par le passé, la réduction du personnel en temps de crise n'est pas à l'ordre du jour chez nous alors que ça l'est chez certains de nos concurrents", a déclaré la présidente du conseil d'administration devant les actionnaires réunis au Vélodrome de Granges (SO).
Avant d'ajouter que la force de l'industrie helvétique se trouve dans le fait qu'elle "fabrique également ses produits ici en Suisse".
Une montre pour effectuer ses paiements
De son côté, le patron de Swatch Group Nick Hayek n'a pas du tout évoqué les montres connectées.
Néanmoins, il a présenté la Swatch Bellamy qui servira à effectuer des paiements. Pour rappel, la montre, déjà en vente en Chine, sera lancée en Suisse dès mi-juin. Il s'agit du premier pays d'Europe où elle sera commercialisée.
ato/rac