En avril, le groupe finlandais avait indiqué vouloir réduire ses effectifs après sa fusion avec Alcatel-Lucent et lancé des consultations dans une trentaine de pays, dont la France, où 400 postes devraient être supprimés.
En Finlande, l'ancien numéro un des téléphones portables, qui vient d'annoncer son retour sur ce marché, prévoyait initialement de supprimer quelque 1300 emplois, soit 20% du total de ses effectifs, un chiffre qui a été revu à la baisse, à 1032, a-t-il écrit dans un communiqué.
Un milliard d'économies
Le groupe n'a pas précisé le nombre de réductions de postes dans le reste du monde. Il espère au total réaliser des économies de 900 millions d'euros (un milliard de francs) par an à partir de 2018.
Pour ses premiers résultats après la fusion avec Alcatel-Lucent, Nokia a, au premier trimestre, enregistré une perte nette de 513 millions d'euros, victime notamment d'une baisse des ventes dans sa principale activité, les réseaux.
ats/vkiss