Plus tôt, l'agence de presse iranienne IRNA avait fait état d'un contrat signé entre Stadler Rail et l'Organisation de développement industriel et de rénovation de l'Iran portant sur la fabrication de 960 rames de métro, 728 pour le réseau de Téhéran et 232 pour celui de Karaj.
L'ambassade suisse à Téhéran avait elle confirmé sur Twitter que les premiers trains devaient rouler sur les rails iraniens fin 2020.
Mais la porte-parole de Stadler Rail a ensuite démenti, assurant qu'aucune décision n'avait été prise et aucun contrat signé. "Il n'y a qu'un appel d'offres", a-t-elle ajouté.
Financement remboursable
Selon le Financial Tribune, Stadler Rail financerait le projet avec une période de remboursement de 14 ans. Le projet est garanti par l'Assurance suisse contre les risques à l'exportation, ajoute le quotidien économique iranien.
L'accord devait prévoir que Stadler Rail transférera le savoir-faire technique requis en Iran.
ats/boi