Retrouvez les moments-clés de l'affaire, entre l'intervention de la police le 8 septembre, la cavale du forcené et son arrestation le 17 septembre.
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Mercredi en fin d'après-midi, on apprend qu'un homme armé est enfermé chez lui depuis 10h00, menaçant de tirer. Des policiers bouclent le quartier des Tilleuls, à Bienne. [KEYSTONE - PETER KLAUNZER]
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En soirée mercredi, la police confirme que l'homme est bel et bien armé et refuse de quitter sa maison, qui doit être mise aux enchères.
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Vers 01h00 jeudi, l'homme parvient à prendre la fuite malgré le dispositif policer et blesse un agent par balle.
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Jeudi matin, les habitants du quartier des Tilleuls prennent conscience de l'ampleur de l'intervention. L'école du quartier est fermée. [KEYSTONE - LUKAS LEHMANN]
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Vers 14h30, la police confirme que le forcené est en fuite et serait armé. Une vaste chasse à l'homme est lancée.
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De plus en plus nombreux, les médias tentent de recueillir les réactions du voisinage, alors que la police communique au compte-gouttes. [KEYSTONE - LUKAS LEHMANN]
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Jeudi, 18h00, la police lance un avis de recherche et publie une photo du forcené datée des années 1980. Il s'avérera plus tard que la photo utilisée n'est pas une photo du forcené. [Police cantonale bernoise]
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Vendredi matin, la police annonce que de nouveaux coups de feu ont été échangés dans la nuit, mais que l'homme reste introuvable. [KEYSTONE - PETER KLAUNZER]
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Malgré un dispositif allégé, des agents restent postés dans le quartier des Tilleuls vendredi. Les écoles sont fermées. [KEYSTONE - PETER KLAUNZER]
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A 17h00 vendredi, les forces spéciales prennent d'assaut une maison dans le quartier des Tilleuls, sans retrouver le forcené. [KEYSTONE - LUKAS LEHMANN]
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Après avoir interpellé un homme par erreur vendredi, la police a tenté de retrouver le fugitif tout le week-end. En vain. [KEYSTONE - PETER KLAUNZER]
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Lundi après-midi, la police publie de nouvelles photos du forcené et annonce que des tracts seront largués sur Bienne. [Police cantonale bernoise]
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Lundi soir, des centaines de tracts sont placardés dans les rues biennoises et largués par avion sur le quartier des Tilleuls. [KEYSTONE - PETER KLAUNZER]
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Affichant leur solidarité avec le forcené, une vingtaine de personnes manifestent lundi à Bienne, dénonçant l'imposant dispositif policier. [KEYSTONE - PETER KLAUNZER]
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Mardi 13, des armes de poing et des munitions artisanales ont été trouvées lors d'une perquisition au domicile du forcené. [Police cantonale bernoise]
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Mardi 13, les policiers sont tombés sur un arsenal artisanal au domicile du fugitif. [Police cantonale bernoise]
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Des munitions artisanales ont été retrouvées dans une pièce de la villa du fugitif. [Police cantonale bernoise]
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L'armoire dans laquelle le forcené dissimulait des armes. [Police cantonale bernoise]
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Jeudi 16, le commandant de la police bernoise Stefan Blättler tient une conférence de presse durant laquelle il annonce que des indices laissent présager que le forcené est toujours vivant. La veille, on apprenait que le fugitif n'était pas du tout licencié en mathématiques, contrairement à ce qui avait été annoncé par les autorités et la presse. [KEYSTONE - MARCEL BIERI]
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Vendredi 17, le forcené a été arrêté sur les hauts de Bienne. Les autorités biennoises et la police cantonale bernoise tiennent une conférence de presse d'une demi-heure.
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Les médias sur le lieu où le fugitif a été interpellé vendredi à 06h00 du matin.
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Vendredi, le quartier des Tilleuls peut enfin respirer et l'école rouvrir ses portes. [KEYSTONE - MARCEL BIERI]