Retour en images sur les principales rencontres officielles qui ont émaillé les relations bilatérales entre la Suisse et la France depuis une vingtaine d'années.
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Le 15 décembre 1989, le président de la Confédération Jean-Pascal Delamuraz rencontre à la gare de Bâle son homologue français François Mitterrand et le chancelier ouest-allemand Helmut Kohl à l'occasion du 25e anniversaire de la coopération transfrontière. Ils font une déclaration tripartite rhénane sur un projet-pilote de développement inter-régional. [Fabrice Coffrini]
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Le 3 décembre 1993, François Mitterrand se rend en Suisse lors d'une visite officielle. Outre les relations bilatérales, il évoque avec le président de la Confédération Adolf Ogi le refus du peuple suisse d'adhérer à l'Union européenne.
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Les 30 et 31 octobre 1996, le président de la Confédération Jean-Pascal Delamuraz se rend à Paris pour s'entretenir avec son homologue français Jacques Chirac à l'Elysée lors d'une visite officielle de deux jours. Ils discutent notamment de l'évolution de l'Union européenne et des négociations bilatérales entre la Suisse et l'UE.
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Le 28 octobre 1998, Jacques Chirac, accompagné par le président de la Confédération Flavio Cotti, est reçu avec les honneurs militaires à Berne. Lors de cette visite d'Etat, il s'est aussi rendu à Zurich, Bellinzone et Genève. [Alessandro della Valle]
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Le 31 mars 2003, Jacques Chirac et Pascal Couchepin, prennent l'apéro à l'Elysée avec Ernesto Bertarelli, qui vient d'être décoré Chevalier de la Légion d'honneur. Le président de la Confédération est venu à Paris en préparation au sommet du G8 à Evian les 1er et 3 juin 2008. [KEYSTONE - LUKAS LEHMANN]
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Le 19 octobre 2004, le président de la Confédération Joseph Deiss et son homologue français Jacques Chirac inaugurent la "Porte Charles de Gaulle" pour les 50 ans du CERN à Genève. [KEYSTONE - Martial Terzzini]
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Le 18 novembre 2005, le président Samuel Schmid est accueilli à l'Elysée pour discuter avec Jacques Chirac de l'avenir de l'Europe, de la réforme des Nations unies ainsi que de la situation au Proche-Orient et dans les Balkans. [KEYSTONE - Sandro Campardo]
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Le 6 septembre 2006, c'est au tour de Moritz Leuenberger d'être reçu à l'Elysée en tant que président de la Confédération par Jacques Chirac. Au menu: relations bilatérales, Francophonie, questions internationales (situation au Proche et Moyen-orient) et aide humanitaire de la Suisse au Liban. [KEYSTONE - Yoshiko Kusano]
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Le 15 novembre 2007, la présidente Micheline Calmy-Rey se rend à l'Elysée pour s'entretenir avec Nicolas Sarkozy et le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner. Ils évoquent notamment la promotion de la voie diplomatique pour résoudre la question du nucléaire iranien, les otages détenus par les Forces Armées révolutionnaires de Colombie et l'évolution des chaînes d'information francophones TV5 et France24. [KEYSTONE - ERIC FEFERBERG]
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Le 27 janvier 2010, Nicolas Sarkozy se rend à Davos pour le World Economic Forum. Il y rencontre Doris Leuthard pour débloquer les relations franco-suisses, qui sont tendues depuis l'affaire des noms volés des clients français de la banque HSBC à Genève utilisés par le fisc français. [KEYSTONE - Alessandro Della Bella]
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Le 21 juillet 2010, quelques mois après leur rencontre à Davos, Nicolas Sarkozy accueille la présidente de la Confédération Doris Leuthard devant l'Elysée. Le chef d’Etat français a souligné que la Suisse était pour le G20 un partenaire essentiel pour réformer le système financier international. [KEYSTONE - AP Photo/Remy de la Mauviniere]
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Le 24 novembre 2011, le Premier ministre français François Fillon reçoit Micheline Calmy-Rey à Matignon à Paris. Il a confirmé à la présidente de la Confédération la position de la France concernant le dispositif "Rubik". [KEYSTONE - AP Photo/Remy de la Mauviniere]
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Le 7 décembre 2012, la présidente de la Confédération Eveline Widmer-Schlumpf s'était entretenue avec François Hollande à l'Elysée sur la convention de double imposition en matière de succession, l'entraide administrative fiscale ou encore Rubik. Le président français s'était alors engagé à effectuer une visite d'Etat. [KEYSTONE - AP Photo/Michel Euler]