De Silvio Berlusconi à Mario Monti en passant par Pier Luigi Bersani, les principaux acteurs de la crise politique italienne.
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Mario Monti (indépendant) est président du Conseil des ministres italien depuis le 16 novembre 2011. Il a démissionné le 21 décembre, mais pourrait se présenter aux élections législatives de mars 2013 à la tête d'un nouveau parti. [KEYSTONE - Riccardo De Luca]
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Silvio Berlusconi (Peuple de la liberté) est maintenant simple député. Trois fois président du conseil (de 1994 à 1995, de 2001 à 2006 et de 2008 à 2011), il a cumulé faits d'armes politiques et scandales privés (deux divorces, une fille illégitime, scandale de moeurs avec le Rubygate). Il a annoncé son intention de briguer la présidence du Conseil des ministres en 2013. [Stefano Porta / EPA]
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Pier Luigi Bersani (Parti démocrate) a remporté le 2 décembre les primaires du centre gauche italien avec 61,1% des suffrages. Il est favori pour succéder à Mario Monti à la tête du gouvernement, sa coalition étant crédité de 33% des intentions de vote. [EPA/Keystone - Ettore Ferrari]
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Beppe Grillo (Mouvement cinq étoiles) est le trublion de la politique italienne. Blogueur et humoriste, il a créé la sensation avec son parti lors d'élections municipales partielles en mai 2012. Son mouvement politique, opposé au parti actuel, recueille près de 20% des intentions de vote aux législatives de 2013, soit devant le parti de Silvio Berlusconi. [Tonino Di Marco]
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Giorgio Napolitano (Démocrates de gauche) est président de la République italienne depuis 2006. Son mandat expire en mai 2013. Par son poste, il est responsable de la nomination du président du Conseil. C'est lui qui a installé Mario Monti à cette place en novembre 2011.