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Les aveux de dopage

Avant Armstrong, quelques athlètes ont brisé la loi du silence autour du dopage, passant aux aveux pendant ou après le carrière.
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Le cycliste américain Lance Armstrong a avoué. Le septuple vainqueur déchu du Tour de France reconnaît s'être dopé lors d'une interview avec l'animatrice Oprah Winfrey, diffusée le 17 janvier. [Peter Dejong]

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Champion olympique du 50 kilomètres marche à Pékin en 2008, l'Italien Alex Schwazer est contrôlé positif à l'EPO peut avant les JO de Londres en 2012. Il passe aux aveux quelques jours plus tard et met un terme à sa carrière. [KEYSTONE - EPA/Kay Nietfeld]

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Champion olympique du contre-la-montre en 2004 à Athènes, l'Américain Tyler Hamilton perd sa médaille en 2012 après avoir admis s'être dopé durant toute sa carrière lors d'un entretien télévisé où il dénonçait le système Armstrong. [KEYSTONE - Eric Risberg]

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Le cycliste italien Riccardo Riccò est hospitalisé en février 2011 dans un état très sérieux. Par peur pour sa vie, il admet à son médecin qu'il s'est auto-transfusé son propre sang qu'il gardait dans son réfrigérateur depuis 25 jours. Il nie ses aveux quelques jours plus tard, mais il est quand même suspendu de toute compétition pour 12 ans. [KEYSTONE - Laurent Rebours]

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Le 8 octobre 2007, après avoir avoué devant la presse s’être dopée aux stéroïdes avant les JO de Sydney en 2000, l'athlète américaine Marion Jones rend ses 5 médailles. Elle est condamnée à six mois de prison ferme pour raison de parjure, ayant nié auparavant. Elle purge sa peine entre le 7 mars et le 5 septembre 2008. [Adam Butler]

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"Je reconnais faire usage d'EPO depuis 4 ans à peu près." Le cycliste suisse Alex Zülle est entendu en juillet 1998 dans le cadre de "l'Affaire Festina". Cet aveu lui vaudra une suspension de 7 mois. [KEYSTONE - Fabrice Coffrini]

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La photo finale du Tour de France 1996 a mauvaise allure. Maillot à pois du meilleur grimpeur, Richard Virenque a avoué en 2000 avoir pris des produits dopant et est suspendu un an. Maillot jaune, le Danois Bjarne Riis passe aux aveux en 2007. Son nom reste au palmarès de 1996, adjoint d'une mention de ses aveux. Enfin, maillot vert du meilleur sprinteur, l'Allemand Eric Zabel reconnaît en mai 2007 s'être dopé à l'EPO, mais avoir arrêté après une semaine à cause d'effets secondaires. [AP - Laurent Rebours]

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Le 24 septembre 1988, le Canadien Ben Johnson bat le record du 100m en finale des jeux olympiques de Séoul. Moins d'un an plus tard, il reconnaît s'être dopé aux stéroïdes anabolisants. Suspendu deux ans, il perd sa médaille d'or et son record du monde. [KEYSTONE - Dieter Endlicher]