En images, les proches de Vladimir Poutine ainsi que les responsables russes et pro-russes concernés par les sanctions mises en place par les Etats-Unis et l'Union européenne.
1/20
Boris et Arkady Rotenberg - Appartenant aux nouveaux oligarques russes, les deux frères ont accru leur fortune de 2,5 milliards de dollars ces deux dernières années grâce à des contrats liés aux Jeux olympiques de Sotchi, affirme Washington. Frappés de sanctions par Washington, ces proches de Vladimir Poutine étaient tous deux partenaires d'entraînement de judo du président russe, selon le magazine Forbes. [Valeriy Levitin/Alexander Kulebyakin]
2/20
Boris et Arkady Rotenberg - Appartenant aux nouveaux oligarques russes, les deux frères ont accru leur fortune de 2,5 milliards de dollars ces deux dernières années grâce à des contrats liés aux Jeux olympiques de Sotchi, affirme Washington. Frappés de sanctions par Washington, ces proches de Vladimir Poutine étaient tous deux partenaires d'entraînement de judo du président russe, selon le magazine Forbes. [Valeriy Levitin/Alexander Kulebyakin]
3/20
Gennady Timchenko - Sixième fortune de Russie selon Forbes, le milliardaire russe est un important actionnaire des groupes Sibur et Transoil. Il a aussi cofondé la société de négoce d'hydrocarbures Gunvor, basée à Genève. Réputé proche de Vladimir Poutine, il est frappé de sanctions par les Etats-Unis. [KEYSTONE - Laurent Gilliéron]
4/20
Iouri Kovalchuk - L'homme d'affaires est le plus important actionnaire de la banque Rossiya. Selon Washington, il est considéré comme le "banquier personnel" de nombreux officiels russes, "y compris Vladimir Poutine". Il figure sur la liste des sanctions établie par les Etats-Unis, tout comme la banque Rossiya. [AFP - Interpress/Alexander Nikolayev]
5/20
Vladislav Sourkov (à gauche) - Ancien vice-président du gouvernement russe et cofondateur du parti Russie unie de Vladimir Poutine, il est sanctionné par les Etats-Unis et l'UE en sa qualité de conseiller du président russe. [AP Photo/RIA Novosti - Alexei Nikolsky, Government Press Service]
6/20
Sergueï Glaziev - Fondateur du parti ultranationaliste russe Rodina, il conseille Vladimir Poutine sur les questions relatives à l'Ukraine. Il figure à ce titre sur les listes de sanctions publiées par les Etats-Unis et l'UE. [KEYSTONE - Sergey Ponomarev]
7/20
Sergueï Ivanov - Ancien directeur adjoint du FSB (ex-KGB), le service de renseignement russe, et ex-ministre de la Défense, il est actuellement chef de l'administration présidentielle de Vladimir Poutine. Il figure sur la liste américaine. [KEYSTONE - AP Photo/Alexander Zemlianichenko]
8/20
Victor Ivanov - Entré au KGB (service de renseignement de l'URSS) en 1977, il est actuellement directeur du Service fédéral de contrôle des stupéfiants russe. Considéré comme un très proche allié de Vladimir Poutine, il est ciblé par les sanctions américaines. [RIA Novosti - Ria Novosti/Mihail Metzel]
9/20
Dmitri Rogozine - Journaliste et cofondateur du parti ultranationaliste russe Rodina, le vice-Premier ministre du gouvernement russe est sanctionné par les Etats-Unis et l'Union européenne. [KEYSTONE - AP Photo/Alexander Zemlianichenko]
10/20
Sergueï Narychkine - Membre du parti Russie unie de Vladimir Poutine, il est président de la Douma et fait partie du Conseil de sécurité nationale de la Fédération de Russie. Ce proche du président russe figure sur les listes américaine et européenne. [KEYSTONE - AP Photo/Alexander Zemlianichenko]
11/20
Valentina Matvienko - Proche de Vladimir Poutine, elle est présidente du Conseil de la Fédération, la Chambre haute du Parlement russe et figure. A ce titre, sur les listes européenne et américaine des personnes sanctionnées. [KEYSTONE - AP Photo/RIA-Novosti, Yana Lapikova]
12/20
Sergueï Zheleznyak - Vice-président de la Douma, la Chambre basse du Parlement russe, il est membre de Russie unie, le parti de Vladimir Poutine. Il figure sur les listes européenne et américaine. "Il a personnellement dirigé la manifestation en faveur du recours à l'armée russe en Ukraine", note l'UE. [RIA Novosti - Ria Novosti/Sergey Mamontov]
13/20
Leonid Slutski - Le député à la Douma (Chambre basse du Parlement russe) est aussi président de la Commission de la Communauté des Etats Indépendants (CEI). Il figure sur les listes américaine et européenn en tant que "soutien actif au recours à l'armée russe en Ukraine et à l'annexion de la Crimée", dixit Bruxelles. [KEYSTONE - ALEXANDER ZEMLIANICHENKO]
14/20
Sergueï Mironov - Le chef du groupe Russie juste à la Douma est sanctionné par l'Europe et les Etats-Unis. Il est l'"auteur du projet de loi autorisant la Fédération de Russie à admettre en son sein, sous prétexte de protection des citoyens russes, des territoires d'un pays étranger sans l'accord de ce dernier ou sans un traité international", écrit l'UE. [KEYSTONE - AP Photo/Alexander Zemlianichenko]
15/20
Vladimir Yakounine (à gauche) - Le président de la compagnie des chemins de fer russes est un homme de confiance de Vladimir Poutine. Président de l'Union internationale des chemins de fer, il figure sur la liste des personnes sanctionnées par les Etats-Unis. [KEYSTONE - EPA/Alexey Druzhinyn]
16/20
Dmitri Kisselev - Le journaliste, qui anime notamment une émission sur la première chaîne de télévision publique russe, est connu pour ses diatribes anti-américaines et anti-homosexuels. L'UE l'a inscrit sur sa liste personnes soumises à sanctions. [AFP - Ria Novosti/Mikhail Klimentyev]
17/20
Viktor Ianoukovitch - Le président ukrainien, destitué le 22 février 2014 par le Parlement à Kiev, figure sur la liste américaine. Selon Washington, il "menace la paix, la sécurité, la stabilité, la souveraineté et l'intégrité territoriale de l'Ukraine". [ALEXANDER NEMENOV]
18/20
Sergueï Aksyonov - Elu "Premier ministre de Crimée" le 27 janvier 2014, le responsable pro-russe figure sur les listes américaine et européenne. Il a "mené une campagne active en faveur de l'organisation du référendum" pour l'indépendance de la péninsule, justifie Bruxelles. [KEYSTONE - Pavel Golovkin]
19/20
Vladimir Konstantinov - Le président du Conseil suprême de la République autonome de Crimée (ici au centre, lors de la signature du traité intégrant la Crimée à la Russie le 18 mars 2014 à Moscou) figure sur les listes européenne et américaine. Selon Washington, il menace la paix, la sécurité, la stabilité, la souveraineté et l'intégrité territoriale de l'Ukraine. [KEYSTONE - AP Photo/RIA-Novosti, Alexei Druzhinin]
20/20
Deniz Berezovsky - Nommé commandant de la marine ukrainienne le 1er mars 2014, il a prêté allégeance aux autorités pro-russes en Crimée le lendemain. Kiev a lancé une enquête à son encontre pour haute trahison, note l'UE. [KEYSTONE - Andrew Lubimov]