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Dessine-moi un réfugié

Trois dessinateurs de Vigousse sont partis à la rencontre des réfugiés en Israël et dans les territoires palestiniens : son fondateur Thierry Barrigue, le Jurassien Pitch et Sjöstedt ont sillonné la région pendant près de 10 jours pour échanger à travers leur outil de travail, le dessin.

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Avec Barrigue et Sjöstedt, Pitch a passé une semaine en Israël et en Palestine. Ils en ont tiré un reportage intitulé "Au pied du mur". [Vigousse - Pitch]

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Portrait d'une femme érythréenne, qui a fui son pays et la guerre. En passant par le désert, elle a été prise en otage par des Bédouins et violée. Elle est parvenue à rejoindre Israël et Tel Aviv. Mais sa situation n'est pas facile pour autant. [Vigousse - Sjöstedt]

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En route pour le camp de réfugiés de Holot, situé à 2h30 de Tel Aviv. Le désert, des grillages, des baraquements et un soleil de plomb. [Vigousse - Sjöstedt]

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Afwerki, un réfugié érythréen. Il a passé de longs mois dans le camp de Holot. [Vigousse - Barrigue]

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Portrait d'une femme qui fait du crochet dans un atelier nommé Kuchinate, toujours à Tel Aviv. [Vigousse - Sjöstedt]

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Arrivée au camp d'Arroub, dans les environs de Bethléem. Ici demeurent des réfugiés palestiniens chassés de leurs maisons en 1948. [Vigousse - Pitch]

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Toujours dans le camp d'Arroub. Beaucoup de dessins et de banderoles rendent hommage à des Palestiniens abattus par des soldats israéliens. [Vigousse - Pitch]

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Séance de selfies entre les trois dessinateurs et des jeunes palestiniens au terme d'un atelier de dessin dans le camp d'Arroub. [Vigousse - Pitch]

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Départ pour les territoires palestiniens et Gaza. [Vigousse - Pitch]

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Pour arriver à Gaza, il faut franchir un long corridor de plus d'un kilomètre, entouré de grillages, qui sépare Israël de la Palestine. [Vigousse - Pitch]

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"Les trois Grâces." A Gaza, les dessinateurs visitent une école et rencontrent trois filles, ambassadrices des autres élèves. [Vigousse - Sjöstedt]

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Lubna, 14 ans. Une des élèves de cette école gazaouie. [Vigousse - Pitch]

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Rencontre avec une famille gazaouie, qui réside dans le plus grand camp de Gaza, Al-Shati, que l'on appelle aussi Beach Camp. [Vigousse - Pitch]

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Agée de 80 ans, la grand-mère habite à Gaza City depuis qu'elle a dix ans. [Vigousse - Sjöstedt]

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Un des jeunes Gazaouis rencontrés dans les rues du camp Al-Shati. "Ils sont souriants, mais ils ont en eux une colère qui ne demande qu'à exploser", écrivent les auteurs de ce reportage. [Vigousse - Sjöstedt]

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