La chaîne n'a fourni aucun détail, mais selon des rebelles soutenus par la Turquie, des accrochages intermittents se sont produits ces derniers jours dans ce secteur situé dans la "zone de sécurité" qu'Ankara a établie en territoire syrien, le long de la frontière entre les deux pays, depuis le déclenchement de l'opération militaire "Source de paix", le 9 octobre dernier.
Présent à Genève pour une réunion inaugurale du comité constitutionnel syrien sous l'égide des Nations unies, le principal représentant du gouvernement de Damas a dénoncé l'occupation d'une partie du territoire syrien.
"En contradiction avec la légitimité internationale"
"L'occupation de notre territoire, la spoliation de nos ressources, l'imposition unilatérale de sanctions menacent l'ensemble du processus politique et sont en contradiction avec la légitimité internationale", a dit Ahmad Kouzbari.
Des patrouilles conjointes entre les armées turque et russe doivent débuter vendredi dans la "zone de sécurité".
reuters/ther