- Au moins 200 personnes ont été tuées mardi dans une frappe israélienne ayant touché l'enceinte d'un hôpital de la ville de Gaza, a rapporté le ministère de la Santé du Hamas. D'autres sources font état de 500 victimes. Israël a démenti toute responsabilité et a attribué le raid au Djihad islamique, alors que les condamnations internationales se sont multipliées.
- Plus de 3000 personnes ont été tuées dans les frappes israéliennes sur la bande de Gaza, dont un millier d'enfants, d'après un bilan actualisé diffusé mardi par le ministère de la Santé du Hamas. Ces raids ont également fait plus de 12'500 blessés.
- Côté israélien, le bilan se monte à plus de 1400 morts, dont 286 soldats. L'armée israélienne a également affirmé que 200 personnes avaient été capturées par le Hamas lors de l'attaque du 7 octobre. De son côté, le Hamas affirme détenir "entre 200 et 250 otages israéliens".
- La situation dans la bande de Gaza donne lieu à "des indications quotidiennes" de violations du droit international humanitaire, a indiqué l'ONU, dénonçant un possible déplacement forcé de population.
- Il ne reste plus que quatre à cinq jours de nourriture dans les magasins de la bande de Gaza, assiégée par l'armée israélienne suite à l'attaque sanglante du Hamas, selon le Programme alimentaire mondial.
- Le président américain Joe Biden se rendra en Israël mercredi pour une visite de solidarité après l'attaque meurtrière du Hamas du 7 octobre. Il est attendu ensuite dans la capitale jordanienne Amman pour rencontrer les dirigeants de Jordanie, d'Egypte et de l'Autorité palestinienne.
- Au Liban, la situation se tend de jour en jour avec Israël. Des échanges de tirs d’artillerie et de roquettes ont quotidiennement lieu entre l’armée israélienne et le Hezbollah. La milice dit se tenir prête à intervenir à tout moment, et ses alliés du Hamas, aussi présents au Liban, sont sur le pied de guerre.
Suivi assuré par RTSinfo