"La sécurité est clairement un des gros défis d’un sommet. Des chefs de gouvernement, des chefs d’Etat se rendront en Suisse, il faut assurer leur sécurité au niveau maximum sans embêter trop la population", note le haut fonctionnaire.
Quelque 160 Etats ont été invités et leurs représentants et représentantes doivent pouvoir loger dans le périmètre. Plus de 70 ont déjà répondu présents. "Le Bürgenstock est vaste, éloigné des villes et c’est aussi une carte postale pour la Suisse", se réjouit Nicolas Bideau.
N’offrant pas tous ces avantages, Genève et Davos ont été écartés. L’armée et les polices de quatre cantons sont mobilisées pour contrôler les routes et prévenir toute menace venue des airs. Un dôme contre les cyberattaques est également prévu.
La Suisse et la sécurité, c’est une vieille affaire
Quid du personnel de l’hôtel de luxe? La nourriture sera-t-elle vérifiée? A partir de quand le complexe du Bürgenstock sera-t-il fermé au public? Ce sommet est-il différent des précédents?
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Caroline Stevan et l'équipe du Point J