La plateforme, détenue par l'entreprise chinoise ByteDance, n'a cependant pas donné le détail des licenciements prévus par pays.
Un porte-parole a expliqué qu'il s'agissait de soutenir les efforts de TikTok vers une meilleure modération des contenus mis en ligne en se reposant en particulier sur des solutions "automatisées".
Moins de 500 postes sont potentiellement concernés en Malaisie, selon cette source. Sur son site, dans une note datant de novembre 2023, TikTok indiquait compter "des milliers d'employés" sur "six continents" sans plus de précision.
Investir deux milliards en 2024
"Nous comptons investir deux milliards de dollars (1,7 milliard de francs) au niveau mondial dans la confiance et la sécurité au cours de la seule année 2024 et nous continuons d'améliorer l'efficacité de nos efforts, avec 80% de contenus en violation (des règles) désormais supprimés par des technologies automatisées", a poursuivi le même porte-parole dans un court communiqué.
La plateforme de courtes vidéos a recours à une combinaison de modérateurs humains et d'outils de détection automatisés pour analyser les contenus publiés par ses utilisateurs et les retirer le cas échéant.
Ces annonces interviennent alors que les géants de la tech sont soumis à une réglementation plus stricte en Malaisie. Le gouvernement malaisien demande notamment aux réseaux sociaux d'obtenir une licence d'exploitation, avec l'objectif de lutter contre une cybercriminalité grandissante.
rad avec ats